Le président de la République Michel Aoun a signé le décret prévoyant un déblocage de fonds pour l’organisation du scrutin législatif, voté par le Parlement lors de sa dernière réunion, le 29 mars. À moins d’un mois du premier jour de vote prévu le vendredi 6 mai pour les Libanais expatriés dans des pays arabes, l’Exécutif obtient 620 milliards de livres libanaises, dont 60 milliards pour le ministère des Affaires étrangères – une avance au Trésor approuvée par la Chambre qui n’a toujours pas voté, en avril, le Budget de l’année.
Le président Aoun a également signé le projet de loi controversé sur le contrôle des capitaux qui devrait légitimer les restrictions bancaires instaurées depuis fin 2019. Le texte avit été amendé en Conseil des ministres fin mars.
Enfin, une autre avance du Trésor a également été contresignée par Baabda, débloquant 127 milliards et demi de livres libanaises à Ogero pour lui permettre de payer les allocations sociales et les frais de transport de ses employés.
Le président Aoun a également signé le projet de loi controversé sur le contrôle des capitaux qui devrait légitimer les restrictions bancaires instaurées depuis fin 2019. Le texte avit été amendé en Conseil des ministres fin mars.
Enfin, une autre avance du Trésor a également été contresignée par Baabda, débloquant 127 milliards et demi de livres libanaises à Ogero pour lui permettre de payer les allocations sociales et les frais de transport de ses employés.
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