Le gouverneur de la Banque du Liban Riad Salamé a affirmé vendredi que «les réserves en or de la banque centrale s’élevaient fin février à 17,547 milliards de dollars». «Le Liban conserve ainsi sa position en deuxième place sur la liste des pays arabes dotés des plus importantes réserves d'or, celles du Liban pesant 286 tonnes», a-t-il estimé dans une interview accordée au directeur du bureau de la Middle East News Agency au Liban. M. Salamé donne ainsi des précisions à la suite de l’article publié jeudi par le quotidien The National, selon lequel la BDL compterait ses réserves en or pour la première fois depuis 30 ans.
M. Salamé a précisé en outre que «les réserves en devises étrangères s’élevaient, fin février, à 12,748 milliards de dollars» et que l’enveloppe financière de la banque, qui comprend les euro-obligations, a atteint, à la même période, 4,197 milliards de dollars, enregistrant ainsi une légère augmentation par rapport à janvier. Quant aux sommes transférées en 2021 par les Libanais de l’étranger, elles ont atteint les 6,4 milliards de dollars.
Pour Riad Salamé, le plan de redressement financier élaboré par le gouvernement libanais en coopération avec le Fonds monétaire international devrait aider le secteur financier. Affirmant enfin que la banque centrale «n’est pas en faillite», M. Salamé a souligné que la BDL continue d’exercer son rôle en vertu de l’article 70 du code de la monnaie et du crédit, qui stipule qu’il est du devoir de la Banque centrale de sauvegarder la monnaie nationale comme une garantie fondamentale du développement économique et social.
M. Salamé a précisé en outre que «les réserves en devises étrangères s’élevaient, fin février, à 12,748 milliards de dollars» et que l’enveloppe financière de la banque, qui comprend les euro-obligations, a atteint, à la même période, 4,197 milliards de dollars, enregistrant ainsi une légère augmentation par rapport à janvier. Quant aux sommes transférées en 2021 par les Libanais de l’étranger, elles ont atteint les 6,4 milliards de dollars.
Pour Riad Salamé, le plan de redressement financier élaboré par le gouvernement libanais en coopération avec le Fonds monétaire international devrait aider le secteur financier. Affirmant enfin que la banque centrale «n’est pas en faillite», M. Salamé a souligné que la BDL continue d’exercer son rôle en vertu de l’article 70 du code de la monnaie et du crédit, qui stipule qu’il est du devoir de la Banque centrale de sauvegarder la monnaie nationale comme une garantie fondamentale du développement économique et social.
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