©La finale Real Madrid Liverpool confirme la domination des clubs riches sur le football européen. Photo d’archives AFP
Vainqueur 3-1 à Chelsea à l'aller, le Real Madrid et son entraîneur Carlo Ancelotti sont "prêts à soufrir" en quart de finale retour de la Ligue des champions, mardi, face au tenant du titre qui aura besoin d'un "scénario de rêve", a reconnu l'entraîneur Thomas Tuchel.
"Toujours permis de rêver"
Thomas Tuchel (entraîneur de Chelsea): "Il nous faudra rien de moins qu'un scénario de rêve si on veut être capable de surmonter ça. La tâche est incroyablement difficile, compte tenu du résultat du match aller, de l'endroit où on joue, de l'adversaire et du niveau de compétition. Mais c'est toujours permis de rêver (...) C'est du sport, c'est un jeu et c'est la beauté de ce jeu que tout est possible, toujours (...) Peut-être qu'on arrivera à réaliser notre rêve, mais, de façon réaliste, il faudra tout donner et qu'on soit à notre meilleur niveau".
Le Real s'attend à "souffrir"
Carlo Ancelotti (entraîneur du Real Madrid): "Nous savons tous que le match sera difficile. Il faudra être bien concentré pendant 90 minutes. Il faudra jouer comme on a joué à l'aller mais nous devons savoir que notre adversaire fera tout pour l'emporter (...) La seule façon dont on peut préparer ce match, c'est de penser que Chelsea sera meilleur demain et qu'il sera prêt. Il n'y en a pas d'autres. On sait que l'on va souffrir et nous sommes prêts à souffrir".
Casemiro (milieu de terrain du Real Madrid): "Je pense que ce sera un match très difficile, mais je pense que la dernière fois on a joué les meilleures 90 minutes de notre saison. On ne doit pas prendre de risque. On ne peut pas se permettre d'excès de confiance. Ce sont les tenants du titre, on a beaucoup de respect pour eux".
Chelsea va "tout donner"
Tuchel: "On ne conditionne pas notre engagement ou notre confiance à nos chances d'atteindre un bon résultat. On ne l'a jamais fait et ça ne commencera pas demain. On ne va pas donner moins parce que c'est très improbable qu'on y arrive. C'est improbable, mais ça vaut le coup d'essayer et on essaiera. (...) Il ne faut pas accepter (l'élimination) avant que ce soit fini. Il faut donner tout ce qu'on peut sur le terrain on doit montrer qu'on peut travailler plus dur, qu'on peut jouer mieux, prendre plus de risques et montrer notre vrai visage en usant tout notre potentiel et on acceptera ce qui en ressortira".
Benzema, l'attaquant ultime
Ancelotti: "Dans le passé, les attaquants restaient dans la surface pour pousser le ballon au fond dès que possible. Aujourd'hui, ils doivent faire plus. Les attaquants modernes doivent attaquer la défense, ils doivent se battre. A mon avis, Karim est l'attaquant moderne ultime".
Casemiro: "Vous, vous ne le voyez que 90 minutes sur le terrain, les buts qu'il marque, mais on est ensemble tout le temps. A l'entraînement, tous les jours, on est toujours tellement impressionnés. Il fait partie de l'histoire du club et c'est un honneur d'être ses coéquipiers. C'est un joueur incroyable. C'est un joueur historique et actuellement peut-être notre joueur le plus important".
La magie de Bernabeu
Tuchel: "Jouer en tant qu'équipe visiteuse à Bernabeu est l'un des plus gros défis qui soient. C'est encore plus dur quand on doit atteindre un certain résultat, quand il faut gagner par au moins deux buts d'écart. C'est presque impossible, mais (Bernabeu) est aussi une scène où on peut se sublimer et on a besoin de se sublimer".
Ancelotti "espère" être au Real l'an prochain
Ancelotti: "J'espère (être là la saison prochaine), mais ce n'est pas ce à quoi je pense actuellement. J'ai un contrat assez long (3 ans au total), mais ce n'est pas à ça que je pense. Si le club est content de moi, super. Sinon, je serai reconnaissant d'avoir eu l'opportunité de diriger à nouveau Madrid". .
Faire "un match plus physique"
Tuchel: "On voulait être plus physique mais on n'a pas travaillé assez dur et de façon assez intensive à l'aller (...) On est une équipe qui a besoin de cette dimension athlétique, d'être affûtée, d'être déterminée pour être spéciale. On n'a pas réussi à le faire assez au dernier match. (...) On a eu du mal dans le contre-pressing et dans l'intensité des courses. Est-ce qu'on y arrivera cette fois ? On verra. Le match est totalement différent. Mais il faudra un match plus physique, ce sera une partie de la solution".
"Toujours permis de rêver"
Thomas Tuchel (entraîneur de Chelsea): "Il nous faudra rien de moins qu'un scénario de rêve si on veut être capable de surmonter ça. La tâche est incroyablement difficile, compte tenu du résultat du match aller, de l'endroit où on joue, de l'adversaire et du niveau de compétition. Mais c'est toujours permis de rêver (...) C'est du sport, c'est un jeu et c'est la beauté de ce jeu que tout est possible, toujours (...) Peut-être qu'on arrivera à réaliser notre rêve, mais, de façon réaliste, il faudra tout donner et qu'on soit à notre meilleur niveau".
Le Real s'attend à "souffrir"
Carlo Ancelotti (entraîneur du Real Madrid): "Nous savons tous que le match sera difficile. Il faudra être bien concentré pendant 90 minutes. Il faudra jouer comme on a joué à l'aller mais nous devons savoir que notre adversaire fera tout pour l'emporter (...) La seule façon dont on peut préparer ce match, c'est de penser que Chelsea sera meilleur demain et qu'il sera prêt. Il n'y en a pas d'autres. On sait que l'on va souffrir et nous sommes prêts à souffrir".
Casemiro (milieu de terrain du Real Madrid): "Je pense que ce sera un match très difficile, mais je pense que la dernière fois on a joué les meilleures 90 minutes de notre saison. On ne doit pas prendre de risque. On ne peut pas se permettre d'excès de confiance. Ce sont les tenants du titre, on a beaucoup de respect pour eux".
Chelsea va "tout donner"
Tuchel: "On ne conditionne pas notre engagement ou notre confiance à nos chances d'atteindre un bon résultat. On ne l'a jamais fait et ça ne commencera pas demain. On ne va pas donner moins parce que c'est très improbable qu'on y arrive. C'est improbable, mais ça vaut le coup d'essayer et on essaiera. (...) Il ne faut pas accepter (l'élimination) avant que ce soit fini. Il faut donner tout ce qu'on peut sur le terrain on doit montrer qu'on peut travailler plus dur, qu'on peut jouer mieux, prendre plus de risques et montrer notre vrai visage en usant tout notre potentiel et on acceptera ce qui en ressortira".
Benzema, l'attaquant ultime
Ancelotti: "Dans le passé, les attaquants restaient dans la surface pour pousser le ballon au fond dès que possible. Aujourd'hui, ils doivent faire plus. Les attaquants modernes doivent attaquer la défense, ils doivent se battre. A mon avis, Karim est l'attaquant moderne ultime".
Casemiro: "Vous, vous ne le voyez que 90 minutes sur le terrain, les buts qu'il marque, mais on est ensemble tout le temps. A l'entraînement, tous les jours, on est toujours tellement impressionnés. Il fait partie de l'histoire du club et c'est un honneur d'être ses coéquipiers. C'est un joueur incroyable. C'est un joueur historique et actuellement peut-être notre joueur le plus important".
La magie de Bernabeu
Tuchel: "Jouer en tant qu'équipe visiteuse à Bernabeu est l'un des plus gros défis qui soient. C'est encore plus dur quand on doit atteindre un certain résultat, quand il faut gagner par au moins deux buts d'écart. C'est presque impossible, mais (Bernabeu) est aussi une scène où on peut se sublimer et on a besoin de se sublimer".
Ancelotti "espère" être au Real l'an prochain
Ancelotti: "J'espère (être là la saison prochaine), mais ce n'est pas ce à quoi je pense actuellement. J'ai un contrat assez long (3 ans au total), mais ce n'est pas à ça que je pense. Si le club est content de moi, super. Sinon, je serai reconnaissant d'avoir eu l'opportunité de diriger à nouveau Madrid". .
Faire "un match plus physique"
Tuchel: "On voulait être plus physique mais on n'a pas travaillé assez dur et de façon assez intensive à l'aller (...) On est une équipe qui a besoin de cette dimension athlétique, d'être affûtée, d'être déterminée pour être spéciale. On n'a pas réussi à le faire assez au dernier match. (...) On a eu du mal dans le contre-pressing et dans l'intensité des courses. Est-ce qu'on y arrivera cette fois ? On verra. Le match est totalement différent. Mais il faudra un match plus physique, ce sera une partie de la solution".
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