Le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, a dénoncé les pratiques «mafieuses et criminelles» de ses adversaires politiques, dans un discours virulent lors du lancement de la candidature de Nazih Matta.
Le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a déclaré mardi que «la voix des électeurs sera notre force le jour des élections» et qu’elle sera plus forte que les armes et la corruption, lançant une pique à peine voilée en direction de ses rivaux politiques, à savoir le Courant patriotique libre (CPL), le Hezbollah, le mouvement Amal, ainsi que le reste de la classe dirigeante au pouvoir.
M. Geagea, qui s’exprimait lors du lancement de la candidature de Nazih Matta au siège grec-orthodoxe de Aley, a par ailleurs mis en garde son auditoire contre «les pressions exercées dans les bureaux de vote». Il a dénoncé dans ce cadre «les pratiques criminelles et mafieuses» du camp CPL-Hezbollah-Amal qui se basent sur l’achat de voix en contrepartie d’offres d’emploi, de pots-de-vin et d’aides alimentaires.
Le leader des FL a poursuivi sa tirade en tirant à boulets rouges sur le camp présidentiel et le tandem chiite, déplorant leur mainmise sur les institutions étatiques et leur capacité à conclure des marchés derrière le dos des Libanais, en dépit de la situation politique, économique, sociale et humanitaire déplorable du pays. «Nous n’accepterons plus que la classe dirigeante soit en charge de notre quotidien et de notre avenir, a-t-il martelé. Nous n’accepterons plus que les caisses de l’État soient dilapidées. Nous n’accepterons plus que le système, qui prive le vrai citoyen de ses droits, récompense et garantisse une liberté absolue aux criminels et aux corrompus.»
M. Geagea a également profité de cette occasion pour accuser le CPL et le tandem chiite d’avoir recours à la justice «pour camoufler leurs crimes et user de leur influence pour barrer la voie à l’enquête liée à la double explosion survenue au port de Beyrouth le 4 août 2020, ainsi qu’aux investigations concernant le meurtre de Joe Bejjani», photographe militaire amateur travaillant dans les télécommunications tué par balles le 21 décembre 2020.
Samir Geagea a conclu son allocution en exhortant les Libanais à «ne pas voter pour les parties responsables de l’appauvrissement et de la destruction du Liban, mais de voter pour un projet capable de remettre le Liban sur la bonne voie en termes de réformes et de redressement».
Le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a déclaré mardi que «la voix des électeurs sera notre force le jour des élections» et qu’elle sera plus forte que les armes et la corruption, lançant une pique à peine voilée en direction de ses rivaux politiques, à savoir le Courant patriotique libre (CPL), le Hezbollah, le mouvement Amal, ainsi que le reste de la classe dirigeante au pouvoir.
M. Geagea, qui s’exprimait lors du lancement de la candidature de Nazih Matta au siège grec-orthodoxe de Aley, a par ailleurs mis en garde son auditoire contre «les pressions exercées dans les bureaux de vote». Il a dénoncé dans ce cadre «les pratiques criminelles et mafieuses» du camp CPL-Hezbollah-Amal qui se basent sur l’achat de voix en contrepartie d’offres d’emploi, de pots-de-vin et d’aides alimentaires.
Le leader des FL a poursuivi sa tirade en tirant à boulets rouges sur le camp présidentiel et le tandem chiite, déplorant leur mainmise sur les institutions étatiques et leur capacité à conclure des marchés derrière le dos des Libanais, en dépit de la situation politique, économique, sociale et humanitaire déplorable du pays. «Nous n’accepterons plus que la classe dirigeante soit en charge de notre quotidien et de notre avenir, a-t-il martelé. Nous n’accepterons plus que les caisses de l’État soient dilapidées. Nous n’accepterons plus que le système, qui prive le vrai citoyen de ses droits, récompense et garantisse une liberté absolue aux criminels et aux corrompus.»
M. Geagea a également profité de cette occasion pour accuser le CPL et le tandem chiite d’avoir recours à la justice «pour camoufler leurs crimes et user de leur influence pour barrer la voie à l’enquête liée à la double explosion survenue au port de Beyrouth le 4 août 2020, ainsi qu’aux investigations concernant le meurtre de Joe Bejjani», photographe militaire amateur travaillant dans les télécommunications tué par balles le 21 décembre 2020.
Samir Geagea a conclu son allocution en exhortant les Libanais à «ne pas voter pour les parties responsables de l’appauvrissement et de la destruction du Liban, mais de voter pour un projet capable de remettre le Liban sur la bonne voie en termes de réformes et de redressement».
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