Le président du Parlement, Nabih Berry, a reçu mardi, séparément, les ambassadeurs saoudien, Walid Boukhari; koweïtien, Abdel Aal al-Kinai; et qatari, Ibrahim el-Sahlaoui à Aïn el-Tiné.
À l’issue de l’entretien, M. Kinai a déclaré que «l’initiative koweïtienne a réussi». «Ma présence ici en est la plus grande preuve», a-t-il ajouté, soulignant que les relations entre le Liban et les pays arabes «sont de nouveau sur la bonne voie».
Le diplomate koweïtien a précisé que le chef du Parlement lui a demandé de transmettre un message de remerciement à l’émir du Koweït et au ministre des Affaires étrangères «pour tous les efforts déployés pour sortir de la crise».
Les ambassadeurs saoudien et koweïtien étaient revenus au Liban il y a une dizaine de jours, près de cinq mois après leur rappel par leurs gouvernements respectifs, à la suite d’une grave crise diplomatique entre Beyrouth et plusieurs monarchies du Golfe. Celle-ci était la conséquce des déclarations du ministre libanais de l’Information, Georges Cordahi (qui a démissionné depuis), au sujet de l’intervention de la coalition militaire dirigée par l’Arabie saoudite au Yémen, sachant que l’influence du Hezbollah sur la prise de décision au Liban contribue depuis des années à une détérioration des relations entre Beyrouth et les pays du Golfe.
L’initiative koweïtienne avait été lancée en janvier dernier par le ministre koweïtien des Affaires étrangères, cheikh Ahmed Nasser al-Mohammed al-Sabah, pour régler la crise politique opposant le Liban aux pays du Golfe.
À l’issue de l’entretien, M. Kinai a déclaré que «l’initiative koweïtienne a réussi». «Ma présence ici en est la plus grande preuve», a-t-il ajouté, soulignant que les relations entre le Liban et les pays arabes «sont de nouveau sur la bonne voie».
Le diplomate koweïtien a précisé que le chef du Parlement lui a demandé de transmettre un message de remerciement à l’émir du Koweït et au ministre des Affaires étrangères «pour tous les efforts déployés pour sortir de la crise».
Les ambassadeurs saoudien et koweïtien étaient revenus au Liban il y a une dizaine de jours, près de cinq mois après leur rappel par leurs gouvernements respectifs, à la suite d’une grave crise diplomatique entre Beyrouth et plusieurs monarchies du Golfe. Celle-ci était la conséquce des déclarations du ministre libanais de l’Information, Georges Cordahi (qui a démissionné depuis), au sujet de l’intervention de la coalition militaire dirigée par l’Arabie saoudite au Yémen, sachant que l’influence du Hezbollah sur la prise de décision au Liban contribue depuis des années à une détérioration des relations entre Beyrouth et les pays du Golfe.
L’initiative koweïtienne avait été lancée en janvier dernier par le ministre koweïtien des Affaires étrangères, cheikh Ahmed Nasser al-Mohammed al-Sabah, pour régler la crise politique opposant le Liban aux pays du Golfe.
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