La direction de la Sureté générale (DGSG) a annoncé avoir été contrainte d’arrêter depuis mercredi les rendez-vous sur sa plateforme destinée aux demandeurs de passeports, à cause d’un problème de financement qui affecte son stock de documents de voyage.
Dans un communiqué publié jeudi, la DGSG rappelle que ses centres régionaux ont connu depuis 2020 une forte demande pour l’obtention de passeports, en précisant que le nombre de demandeurs de documents de voyage «est dix fois supérieur à celui des années précédentes, ce qui a affecté son stock de passeports».
Afin de remédier à cette situation avant qu'elle ne s'aggrave, «d'autant que l'obtention d'un passeport est un droit pour tout Libanais», la DGSG, souligne le communiqué, avait lancé la procédure prévue par les lois pour renouveler son stock, «mais, à ce jour, les fonds nécessaires n’ont pas été versés à la société responsable de délivrer ces documents».
Si la plateforme a été pour le moment suspendue, «c’est pour que la Sûreté générale préserve sa crédibilité auprès des Libanais à qui elle ne peut pas fixer de rendez-vous sans être sûre de pouvoir les accueillir». Cette situation durera tant que le problème de financement persistera, selon le communiqué, qui précise cependant que toute personne ayant déjà pris un rendez-vous sur la plateforme se verra octroyer un passeport à la date qui lui a fixée.
Dans un communiqué publié jeudi, la DGSG rappelle que ses centres régionaux ont connu depuis 2020 une forte demande pour l’obtention de passeports, en précisant que le nombre de demandeurs de documents de voyage «est dix fois supérieur à celui des années précédentes, ce qui a affecté son stock de passeports».
Afin de remédier à cette situation avant qu'elle ne s'aggrave, «d'autant que l'obtention d'un passeport est un droit pour tout Libanais», la DGSG, souligne le communiqué, avait lancé la procédure prévue par les lois pour renouveler son stock, «mais, à ce jour, les fonds nécessaires n’ont pas été versés à la société responsable de délivrer ces documents».
Si la plateforme a été pour le moment suspendue, «c’est pour que la Sûreté générale préserve sa crédibilité auprès des Libanais à qui elle ne peut pas fixer de rendez-vous sans être sûre de pouvoir les accueillir». Cette situation durera tant que le problème de financement persistera, selon le communiqué, qui précise cependant que toute personne ayant déjà pris un rendez-vous sur la plateforme se verra octroyer un passeport à la date qui lui a fixée.
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