Quatre jours après son sacre en Liga, le Real Madrid rêve d'une nouvelle remontée fabuleuse mercredi (22h00, Beyrouth) face au tout-puissant Manchester City de Pep Guardiola, qui revient au Bernabéu pour tenter de se hisser à nouveau en finale de la Ligue des champions.
Le scénario épique du match aller, remporté 4-3 par City il y a une semaine à l'Etihad Stadium, est encore gravé dans toutes les mémoires. Mais après le Paris SG en 8es, après Chelsea en quarts, les Rois d'Europe madrilènes et leur leader offensif Karim Benzema devront encore renverser une montagne pour toucher leur quatorzième couronne continentale du bout du doigt.
"Rendez-vous mercredi !", a crié Carlo Ancelotti au micro face à la foule, sur la fontaine Cibeles, place traditionnelle des soirs de gloire du Real, après le 35e titre de Champion d'Espagne glané samedi contre l'Espanyol (4-0).
Malgré les interrogations qui entouraient la pertinence d'une célébration à quatre jours d'un sommet européen comme celui qui attend la "Maison blanche" contre City mercredi, l'entraîneur italien n'a pas hésité une seconde.
Ancelotti contre Guardiola
"Des matches comme celui de mercredi se préparent aussi en se remplissant de joie. On doit célébrer, cela fait du bien au mental. On doit en profiter. S'il y a bien une chose que j'ai apprise dans ce club, c'est qu'il ne s'arrête jamais. Il regarde toujours droit devant, vers une prochaine victoire. Et on se doit de célébrer autre chose en fin de saison", a glissé Ancelotti au coup de sifflet final, samedi.
"On sait qu'on peut remonter, on a confiance en nous. On doit prouver qu'on est le Real Madrid, la meilleure équipe du monde. L'histoire de ce club joue en notre faveur. On ne se rend jamais", a harangué Luka Modric mardi en conférence de presse.
Les supporters madrilènes n'attendent que ça. "Rois d'Europe, nous sommes les Rois d'Europe", chantait le stade Santiago-Bernabéu dans les dernières minutes du match contre l'Espanyol Barcelone alors que le titre en Liga venait à peine d'être assuré.
C'est pourtant une sommité du football européen qui débarque dans la capitale espagnole mercredi. Pep Guardiola, l'homme qui a fait tant de mal à la "Maison blanche" quand il était à la tête du tout-puissant Barça entre 2008 et 2012, revient au Bernabéu pour tenter de rallier une deuxième finale consécutive après celle perdue l'an passé contre Chelsea... et essayer de gagner enfin une Ligue des champions avec un autre club que Barcelone.
Le souvenir du terrible 6-2 infligé par son Barça au Real Madrid lors d'un clasico en mai 2009 est encore vif dans la mémoire collective des supporters merengue, qui se sont associés aux rares aficionados de l'Espanyol (voisin et rival du Barça à Barcelone) présents au stade samedi pour insulter par contumace l'entraîneur honni.
Benzema, prince attendu
Vainqueur lui aussi sur le même score de 4-0 samedi contre Leeds en championnat, City n'a pas encore scellé son titre en Premier League, loin de là : le bras de fer avec Liverpool suit son cours, avant, peut-être, une finale anglo-anglaise en finale de Ligue des champions le 29 mai au stade de France.
Deux joueurs risquent toutefois de manquer à ce rendez-vous continental suivi par toute la planète football : David Alaba, sorti à la mi-temps à l'Etihad, ne s'est pas entraîné lundi et mardi matin avec le reste du groupe madrilène, et il est quasiment écarté pour le match retour. "Il ne peut pas jouer, il n'est pas prêt", a confirmé mardi Carlo Ancelotti, qui devrait donc titulariser Nacho aux côtés d'Eder Militao en défense centrale.
Les deux autres absents de la session collective merengue ont été Gareth Bale, toujours blessé au dos, et Eden Hazard, en pleine récupération.
Côté Citizen, Nathan Aké a pris un mauvais coup à une cheville samedi, et est incertain pour mercredi.
Malgré les absents, le grand prince attendu par le Bernabéu n'est autre que Karim Benzema : l'avant-centre français, grandissime favori pour le Ballon d'Or qui sera décerné en septembre ou octobre, n'a cessé de porter le Real Madrid sur ses épaules toute la saison. Et son examen de fin d'année arrive mercredi. Quoiqu’il arrive, le spectacle est garanti.
Le scénario épique du match aller, remporté 4-3 par City il y a une semaine à l'Etihad Stadium, est encore gravé dans toutes les mémoires. Mais après le Paris SG en 8es, après Chelsea en quarts, les Rois d'Europe madrilènes et leur leader offensif Karim Benzema devront encore renverser une montagne pour toucher leur quatorzième couronne continentale du bout du doigt.
"Rendez-vous mercredi !", a crié Carlo Ancelotti au micro face à la foule, sur la fontaine Cibeles, place traditionnelle des soirs de gloire du Real, après le 35e titre de Champion d'Espagne glané samedi contre l'Espanyol (4-0).
Malgré les interrogations qui entouraient la pertinence d'une célébration à quatre jours d'un sommet européen comme celui qui attend la "Maison blanche" contre City mercredi, l'entraîneur italien n'a pas hésité une seconde.
Ancelotti contre Guardiola
"Des matches comme celui de mercredi se préparent aussi en se remplissant de joie. On doit célébrer, cela fait du bien au mental. On doit en profiter. S'il y a bien une chose que j'ai apprise dans ce club, c'est qu'il ne s'arrête jamais. Il regarde toujours droit devant, vers une prochaine victoire. Et on se doit de célébrer autre chose en fin de saison", a glissé Ancelotti au coup de sifflet final, samedi.
"On sait qu'on peut remonter, on a confiance en nous. On doit prouver qu'on est le Real Madrid, la meilleure équipe du monde. L'histoire de ce club joue en notre faveur. On ne se rend jamais", a harangué Luka Modric mardi en conférence de presse.
Les supporters madrilènes n'attendent que ça. "Rois d'Europe, nous sommes les Rois d'Europe", chantait le stade Santiago-Bernabéu dans les dernières minutes du match contre l'Espanyol Barcelone alors que le titre en Liga venait à peine d'être assuré.
C'est pourtant une sommité du football européen qui débarque dans la capitale espagnole mercredi. Pep Guardiola, l'homme qui a fait tant de mal à la "Maison blanche" quand il était à la tête du tout-puissant Barça entre 2008 et 2012, revient au Bernabéu pour tenter de rallier une deuxième finale consécutive après celle perdue l'an passé contre Chelsea... et essayer de gagner enfin une Ligue des champions avec un autre club que Barcelone.
Le souvenir du terrible 6-2 infligé par son Barça au Real Madrid lors d'un clasico en mai 2009 est encore vif dans la mémoire collective des supporters merengue, qui se sont associés aux rares aficionados de l'Espanyol (voisin et rival du Barça à Barcelone) présents au stade samedi pour insulter par contumace l'entraîneur honni.
Benzema, prince attendu
Vainqueur lui aussi sur le même score de 4-0 samedi contre Leeds en championnat, City n'a pas encore scellé son titre en Premier League, loin de là : le bras de fer avec Liverpool suit son cours, avant, peut-être, une finale anglo-anglaise en finale de Ligue des champions le 29 mai au stade de France.
Deux joueurs risquent toutefois de manquer à ce rendez-vous continental suivi par toute la planète football : David Alaba, sorti à la mi-temps à l'Etihad, ne s'est pas entraîné lundi et mardi matin avec le reste du groupe madrilène, et il est quasiment écarté pour le match retour. "Il ne peut pas jouer, il n'est pas prêt", a confirmé mardi Carlo Ancelotti, qui devrait donc titulariser Nacho aux côtés d'Eder Militao en défense centrale.
Les deux autres absents de la session collective merengue ont été Gareth Bale, toujours blessé au dos, et Eden Hazard, en pleine récupération.
Côté Citizen, Nathan Aké a pris un mauvais coup à une cheville samedi, et est incertain pour mercredi.
Malgré les absents, le grand prince attendu par le Bernabéu n'est autre que Karim Benzema : l'avant-centre français, grandissime favori pour le Ballon d'Or qui sera décerné en septembre ou octobre, n'a cessé de porter le Real Madrid sur ses épaules toute la saison. Et son examen de fin d'année arrive mercredi. Quoiqu’il arrive, le spectacle est garanti.
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