©Joan Mir et Suzuki sur le départ à la fin du championnat 2022? Jorge Guerrero/AFP
Le promoteur du MotoGP a rappelé à l'ordre mardi le constructeur japonais Suzuki quant à un possible départ du championnat du monde en fin d'année, comme annoncé lundi par le site spécialisé Motorsport.com.
"A la suite des récentes rumeurs de départ de Suzuki du MotoGP à la fin de l'année 2022, Dorna Sports (le promoteur du championnat, ndlr) a officiellement contacté l'usine afin de lui rappeler que les conditions de son contrat de course en MotoGP ne lui permettent pas de prendre cette décision unilatéralement", est-il écrit dans un communiqué de la Dorna.
Selon le site spécialisé Motorsport.com, les dirigeants de Suzuki ont réuni lundi les membres de l'équipe en MotoGP et leur ont fait part de leur décision de quitter la discipline fin 2022.
Jointe par l'AFP, l'équipe Suzuki n'a pas confirmé l'information dans l'immédiat.
Ecurie historique, Suzuki avait déjà quitté la discipline fin 2011, avant d'y revenir en 2015. En 2020, elle a gagné le titre de champion du monde pilote grâce à l'Espagnol Joan Mir. Le titre constructeur lui échappe en revanche dans l'ère moderne, ayant remporté ses sept sacres dans l'ancienne catégorie reine 500cc de 1976 à 1982.
"Si Suzuki devait partir après un accord entre les deux parties, Dorna décidera du nombre idéal de pilotes et d'équipes qui courront en MotoGP à partir de 2023", a continué le promoteur.
Dans le format actuel, 24 motos sont engagées. Huit par Ducati (2 dans l'écurie d'usine et 6 dans des équipes "satellites"), quatre par Yamaha, Honda et KTM (2 motos officielles et 2 satellites chacune) et deux motos d'usine chez Aprilia et Suzuki (pilotées par Mir et l'autre Espagnol Alex Rins).
Ce format est normalement en place jusqu'en 2026, date de fin du contrat actuel entre la Fédération internationale de motocyclisme (FIM), la Dorna et l'IRTA (International Racing Team Association), qui représente les six marques engagées en MotoGP et qui le gère en partenariat avec la Dorna.
Si le départ de Suzuki se confirme, la Dorna explique déjà avoir des remplaçants potentiels: "la Dorna continue de susciter un grand intérêt de la part d'un certain nombre d'usines officielles et d'équipes indépendantes qui cherchent à rejoindre la grille MotoGP".
"L'intérêt de ces parties a été reconfirmé au cours des dernières 24 heures", a poursuivi le promoteur.
Les pilotes, eux, se retrouveraient sur le marché des transferts. Joan Mir pourrait rebondir chez Honda selon Motorsport, aux côtés de Marc Marquez et à la place de Pol Espargaro. Pour Alex Rins en revanche, l'avenir serait encore plus incertain.
"A la suite des récentes rumeurs de départ de Suzuki du MotoGP à la fin de l'année 2022, Dorna Sports (le promoteur du championnat, ndlr) a officiellement contacté l'usine afin de lui rappeler que les conditions de son contrat de course en MotoGP ne lui permettent pas de prendre cette décision unilatéralement", est-il écrit dans un communiqué de la Dorna.
Selon le site spécialisé Motorsport.com, les dirigeants de Suzuki ont réuni lundi les membres de l'équipe en MotoGP et leur ont fait part de leur décision de quitter la discipline fin 2022.
Jointe par l'AFP, l'équipe Suzuki n'a pas confirmé l'information dans l'immédiat.
Ecurie historique, Suzuki avait déjà quitté la discipline fin 2011, avant d'y revenir en 2015. En 2020, elle a gagné le titre de champion du monde pilote grâce à l'Espagnol Joan Mir. Le titre constructeur lui échappe en revanche dans l'ère moderne, ayant remporté ses sept sacres dans l'ancienne catégorie reine 500cc de 1976 à 1982.
"Si Suzuki devait partir après un accord entre les deux parties, Dorna décidera du nombre idéal de pilotes et d'équipes qui courront en MotoGP à partir de 2023", a continué le promoteur.
Dans le format actuel, 24 motos sont engagées. Huit par Ducati (2 dans l'écurie d'usine et 6 dans des équipes "satellites"), quatre par Yamaha, Honda et KTM (2 motos officielles et 2 satellites chacune) et deux motos d'usine chez Aprilia et Suzuki (pilotées par Mir et l'autre Espagnol Alex Rins).
Ce format est normalement en place jusqu'en 2026, date de fin du contrat actuel entre la Fédération internationale de motocyclisme (FIM), la Dorna et l'IRTA (International Racing Team Association), qui représente les six marques engagées en MotoGP et qui le gère en partenariat avec la Dorna.
Si le départ de Suzuki se confirme, la Dorna explique déjà avoir des remplaçants potentiels: "la Dorna continue de susciter un grand intérêt de la part d'un certain nombre d'usines officielles et d'équipes indépendantes qui cherchent à rejoindre la grille MotoGP".
"L'intérêt de ces parties a été reconfirmé au cours des dernières 24 heures", a poursuivi le promoteur.
Les pilotes, eux, se retrouveraient sur le marché des transferts. Joan Mir pourrait rebondir chez Honda selon Motorsport, aux côtés de Marc Marquez et à la place de Pol Espargaro. Pour Alex Rins en revanche, l'avenir serait encore plus incertain.
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