Le Premier ministre Najib Mikati a exprimé le souhait que les législatives traduisent la volonté du peuple. Il a espéré qu’avec la nouvelle phase qui débutera le 16 mai, «les plans développés par notre gouvernement verront le jour», a-t-il ajouté, lors d’une réunion tenue au Grand Sérail pour présenter le premier rapport sur la mise en œuvre de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption.
Soulignant la nécessité pour le Liban d’être «prêt et bien préparé pour accueillir les solutions régionales tant attendues», M. Mikati a appelé les différentes parties, après avoir tourné la page des législatives, à «éviter de rentrer dans le vide au niveau du pouvoir exécutif, qui aura la responsabilité d’entamer le processus» du redressement du Liban.
Se penchant sur le rapport relatif à la Stratégie nationale de lutte contre la corruption, M. Mikati a dénoncé «les politiques adoptées au fil des années, qui n’avaient pas accordé la priorité à l’édification de l’État de droit», ce qui a favorisé la corruption.
Il a assuré que son gouvernement continuera à gérer cette phase difficile de l’histoire du Liban. «Nous pouvons toujours réussir, a-t-il affirmé. La Commission nationale pour la lutte contre la corruption jouera un rôle crucial, notamment après avoir signé, il y a quelques jours, un accord de coopération avec les Nations unies pour soutenir le développement durable et approuvé, pour la première fois au Liban, une stratégie nationale globale pour la transformation numérique».
Soulignant la nécessité pour le Liban d’être «prêt et bien préparé pour accueillir les solutions régionales tant attendues», M. Mikati a appelé les différentes parties, après avoir tourné la page des législatives, à «éviter de rentrer dans le vide au niveau du pouvoir exécutif, qui aura la responsabilité d’entamer le processus» du redressement du Liban.
Se penchant sur le rapport relatif à la Stratégie nationale de lutte contre la corruption, M. Mikati a dénoncé «les politiques adoptées au fil des années, qui n’avaient pas accordé la priorité à l’édification de l’État de droit», ce qui a favorisé la corruption.
Il a assuré que son gouvernement continuera à gérer cette phase difficile de l’histoire du Liban. «Nous pouvons toujours réussir, a-t-il affirmé. La Commission nationale pour la lutte contre la corruption jouera un rôle crucial, notamment après avoir signé, il y a quelques jours, un accord de coopération avec les Nations unies pour soutenir le développement durable et approuvé, pour la première fois au Liban, une stratégie nationale globale pour la transformation numérique».
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