Un candidat à l'un des deux sièges sunnites dans la circonscription de Békaa II (Békaa-Ouest et Rachaya) Khaled el-Askar, a annoncé son retrait de la bataille électorale. Il a souligné dans un communiqué samedi matin que son désistement tout comme sa candidature n’ont été soumis à aucune orientation ou pression mais ont été le fruit de consultations avec de «proches et amis».
La déclaration de M. Askar a laissé certains citoyens perplexes surtout qu’il préside la liste sur laquelle est candidat au siège maronite Dany Khater, représentant des Forces libanaises. Dans cette circonscription, 6 listes sont en concurrence pour 6 sièges: 2 sunnites, 1 maronite, 1 druze, 1 orthodoxe et 1 chiite. D'aucuns pensent que le retrait de M. Askar profiterait au député sortant et candidat Mohammad Karaoui, qui a refusé de se présenter aux élections sur une même liste avec les FL vu "son ancien ralliement au parti Baas syrien" et qui s'est engagé dans la bataille électoral sur la liste du PSP, avec Waël Bou Faour.
Certains sont même convaincus que la décision de M. Askar viserait à affaiblir la formation chrétienne opposée au Hezbollah. Charles Jabbour, chargé de communication au sein des FL, affirme à Ici Beyrouth que le contexte présent risque de renflouer le candidat du Courant patriotique libre allié aux formations du 8 Mars et au Hezbollah. M. Jabbour assure que les FL continuent de mener leur bataille dans la Békaa II avec davantage de détermination. "Rien ne nous influence, rien ne nous arrêtera", insiste-t-il. Il ajoute qu'il ignore les raisons pour lesquelles M. Askar s'est retiré. Pour lui, "chaque individu qui se désiste est responsable de sa décision au regard de l’opinion publique et de son entourage". Il ajoute: "Cela n’a pas de retombées sur la nature de la bataille mais uniquement sur la personne qui s’est retirée une semaine avant les législatives qui ont lieu au Liban et avec le début du vote des Libanais à l'étranger". Une question légitime alors s'impose quant aux voix qui ont été accordées à M. Askar samedi dans les pays arabes. Celles-ci devraient être annulées.
Selon des observateurs dans la circonscription Békaa II, ce dernier aurait pu faire l'objet de pressions. Mohammad Karaoui et Hassan Mourad, un autre candidat sunnite, sont du même bord politique mais se présentent chacun sur une liste pour augmenter leur chance d'accéder au Parlement grâce au coefficient électoral que leurs listes respectives peuvent obtenir.
En tout état de cause, en dépit des pressions exercées, vraisemblablement par le Hezbollah, sur les candidats chiites et sunnites inscrits sur leur liste, les FL soulignent leur détermination à poursuivre leur lutte sur base de leurs principes souverainistes pour un Liban indépendant, libéré de toute ingérence étrangère.
La déclaration de M. Askar a laissé certains citoyens perplexes surtout qu’il préside la liste sur laquelle est candidat au siège maronite Dany Khater, représentant des Forces libanaises. Dans cette circonscription, 6 listes sont en concurrence pour 6 sièges: 2 sunnites, 1 maronite, 1 druze, 1 orthodoxe et 1 chiite. D'aucuns pensent que le retrait de M. Askar profiterait au député sortant et candidat Mohammad Karaoui, qui a refusé de se présenter aux élections sur une même liste avec les FL vu "son ancien ralliement au parti Baas syrien" et qui s'est engagé dans la bataille électoral sur la liste du PSP, avec Waël Bou Faour.
Certains sont même convaincus que la décision de M. Askar viserait à affaiblir la formation chrétienne opposée au Hezbollah. Charles Jabbour, chargé de communication au sein des FL, affirme à Ici Beyrouth que le contexte présent risque de renflouer le candidat du Courant patriotique libre allié aux formations du 8 Mars et au Hezbollah. M. Jabbour assure que les FL continuent de mener leur bataille dans la Békaa II avec davantage de détermination. "Rien ne nous influence, rien ne nous arrêtera", insiste-t-il. Il ajoute qu'il ignore les raisons pour lesquelles M. Askar s'est retiré. Pour lui, "chaque individu qui se désiste est responsable de sa décision au regard de l’opinion publique et de son entourage". Il ajoute: "Cela n’a pas de retombées sur la nature de la bataille mais uniquement sur la personne qui s’est retirée une semaine avant les législatives qui ont lieu au Liban et avec le début du vote des Libanais à l'étranger". Une question légitime alors s'impose quant aux voix qui ont été accordées à M. Askar samedi dans les pays arabes. Celles-ci devraient être annulées.
Selon des observateurs dans la circonscription Békaa II, ce dernier aurait pu faire l'objet de pressions. Mohammad Karaoui et Hassan Mourad, un autre candidat sunnite, sont du même bord politique mais se présentent chacun sur une liste pour augmenter leur chance d'accéder au Parlement grâce au coefficient électoral que leurs listes respectives peuvent obtenir.
En tout état de cause, en dépit des pressions exercées, vraisemblablement par le Hezbollah, sur les candidats chiites et sunnites inscrits sur leur liste, les FL soulignent leur détermination à poursuivre leur lutte sur base de leurs principes souverainistes pour un Liban indépendant, libéré de toute ingérence étrangère.
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