Au second jour du vote des Libanais de l’étranger, le patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, a pressé le peuple libanais à «se réveiller». «Il est temps que le peuple se réveille, a-t-il lancé dans son homélie dominicale. L’opération de sauvetage du Liban démocratique est possible, voire impérative si un nouveau pouvoir national capable de réconcilier le peuple avec son État et l’État avec le monde émerge après les élections parlementaires.»
«La vraie démocratie commence par des élections intègres, a ajouté Mgr Raï. Les élections acquièrent leur légitimité populaire et constitutionnelle par une participation massive au vote.»
Appelant les électeurs à bien choisir les candidats auxquels ils accorderont leur voix, le patriarche a estimé que «le critère de choix électoral reste l’ampleur de la misère, des catastrophes, des victimes, des blessés et de la destruction après la double explosion du port, ainsi que l’effondrement économique et financier, la pauvreté, la famine, le déplacement, la pénurie des médicaments et de la nourriture, la paralysie des institutions, l’atteinte à la justice, le dictat imposé à l’État et à sa décision nationale et la contrebande via les frontières ouvertes».
Concernant les électeurs libanais à l’étranger, Mgr Raï a constaté que la tristesse et la colère sont perceptibles sur leur visage et dans leurs discours, d’autant qu’ils ont été contraints à quitter leur pays. Et de se demander si la classe politique est consciente de l’ampleur du mal que ses décisions, sa corruption et ses choix ont fait aux futures générations et à l’avenir du pays.
«La vraie démocratie commence par des élections intègres, a ajouté Mgr Raï. Les élections acquièrent leur légitimité populaire et constitutionnelle par une participation massive au vote.»
Appelant les électeurs à bien choisir les candidats auxquels ils accorderont leur voix, le patriarche a estimé que «le critère de choix électoral reste l’ampleur de la misère, des catastrophes, des victimes, des blessés et de la destruction après la double explosion du port, ainsi que l’effondrement économique et financier, la pauvreté, la famine, le déplacement, la pénurie des médicaments et de la nourriture, la paralysie des institutions, l’atteinte à la justice, le dictat imposé à l’État et à sa décision nationale et la contrebande via les frontières ouvertes».
Concernant les électeurs libanais à l’étranger, Mgr Raï a constaté que la tristesse et la colère sont perceptibles sur leur visage et dans leurs discours, d’autant qu’ils ont été contraints à quitter leur pays. Et de se demander si la classe politique est consciente de l’ampleur du mal que ses décisions, sa corruption et ses choix ont fait aux futures générations et à l’avenir du pays.
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