Le président de la Chambre et chef du mouvement Amal, Nabih Berry, candidat à l’un des sièges chiites de Tyr-Zahrani (Sud II), adressera mardi soir «un message à la nation», selon l’Agence nationale d’information. L’Ani précise qu’il compte «aborder plusieurs dossiers, notamment celui des élections législatives».
Le chef d’Amal est engagé dans la bataille électorale aux côtés du Hezbollah et du Courant patriotique libre, qui ne compte cependant pas le reconduire à la tête de la Chambre pour un nouveau mandat s’il est élu. L’alliance électorale Amal-CPL est ponctuelle, les deux partis n’étant pas sur la même longueur d’ondes.
L’alliance élargie, Hezbollah-Amal-CPL est fustigée par les forces souverainistes notamment qui l’accusent de servir de couverture à l’hégémonie iranienne sur le Liban et de neutraliser toute possibilité d’édification d’un Etat.
Ce point a été soulevé par le chef du PSP, Walid Joumblatt, dans le discours électoral violent qu’il a tenu samedi contre l’axe de la Moumanaa (Hezbollah-Iran-Syrie), accusant celle-ci de vouloir le liquider politiquement. «Malheur à ceux qui veulent mettre la main sur la décision nationale libanaise indépendante, au profit de l’axe de la Moumanaa, l’axe de la destruction et de la falsification, en tout point de la montagne au Sud, en passant par l’Iqlim, la Békaa et Beyrouth», avait déclaré Walid Joumblatt lors d’une cérémonie à Samqanieh, pour le jubilé de l’école al-Aarfan.
Nabih Berry, dont Walid Joumblatt est proche, doit vraisemblablement répondre à ce genre d’accusations.
Le chef d’Amal est engagé dans la bataille électorale aux côtés du Hezbollah et du Courant patriotique libre, qui ne compte cependant pas le reconduire à la tête de la Chambre pour un nouveau mandat s’il est élu. L’alliance électorale Amal-CPL est ponctuelle, les deux partis n’étant pas sur la même longueur d’ondes.
L’alliance élargie, Hezbollah-Amal-CPL est fustigée par les forces souverainistes notamment qui l’accusent de servir de couverture à l’hégémonie iranienne sur le Liban et de neutraliser toute possibilité d’édification d’un Etat.
Ce point a été soulevé par le chef du PSP, Walid Joumblatt, dans le discours électoral violent qu’il a tenu samedi contre l’axe de la Moumanaa (Hezbollah-Iran-Syrie), accusant celle-ci de vouloir le liquider politiquement. «Malheur à ceux qui veulent mettre la main sur la décision nationale libanaise indépendante, au profit de l’axe de la Moumanaa, l’axe de la destruction et de la falsification, en tout point de la montagne au Sud, en passant par l’Iqlim, la Békaa et Beyrouth», avait déclaré Walid Joumblatt lors d’une cérémonie à Samqanieh, pour le jubilé de l’école al-Aarfan.
Nabih Berry, dont Walid Joumblatt est proche, doit vraisemblablement répondre à ce genre d’accusations.
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