En dépit du retrait du groupe Madinati de la bataille électorale à Beyrouth II, deux membres de la liste en question, nommée Beyrouth, ma ville, ont choisi de maintenir leur candidature, en l’occurrence Sara Yassine, candidate pour le siège sunnite, et Paula Rbeiz, pour le siège grec-orthodoxe.
En vertu de la loi électorale en vigueur, tout retrait des listes après leur enregistrement est techniquement irrecevable, et n’a qu’une valeur morale.
«Je ne veux pas décevoir mes électeurs, il y a beaucoup de personnes qui sont convaincues par mon message et mon intégrité (…) de pouvoir et vouloir changer depuis le parlement», a déclaré Sara Yassine, architecte et urbaniste, engagée au Liban depuis 2013 dans plusieurs campagnes de préservation du patrimoine et de l’environnement.
La liste Beyrouth, ma ville avait annoncé le 4 mai son retrait de la course électorale à Beyrouth II, «afin de rassembler les rangs de l’opposition».
En vertu de la loi électorale en vigueur, tout retrait des listes après leur enregistrement est techniquement irrecevable, et n’a qu’une valeur morale.
«Je ne veux pas décevoir mes électeurs, il y a beaucoup de personnes qui sont convaincues par mon message et mon intégrité (…) de pouvoir et vouloir changer depuis le parlement», a déclaré Sara Yassine, architecte et urbaniste, engagée au Liban depuis 2013 dans plusieurs campagnes de préservation du patrimoine et de l’environnement.
La liste Beyrouth, ma ville avait annoncé le 4 mai son retrait de la course électorale à Beyrouth II, «afin de rassembler les rangs de l’opposition».
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