©Photo by Maxim GUCHEK / BELTA / AFP
Le gouvernement libanais a ordonné jeudi aux agences de voyage de cesser de promouvoir le Bélarus comme destination, dans le but d'endiguer le flux de migrants qui tentent d'entrer dans l'Union européenne en arrivant dans ce pays voisin de la Pologne.
Cette mesure a été prise dans une circulaire publiée par l'agence de presse nationale et émise par le ministre du Tourisme, Walid Nassar, qui a déclaré qu'elle visait à empêcher que la capitale Beyrouth ne soit utilisée comme point de départ.
Des milliers de migrants, originaires notamment du Liban, de Syrie et d'Irak, se sont rendus en masse à la frontière entre le Bélarus et la Pologne, dans l'espoir de rejoindre l'UE.
L'Occident accuse le Bélarus - ex-république soviétique soutenue par Moscou - d'avoir orchestré la crise en faisant venir des candidats à l'immigration et en les amenant à la frontière, pour se venger des sanctions occidentales visant le régime autoritaire du président Alexandre Loukachenko, ce que Minsk nie.
Une fois sur place, les migrants sont pris en étau entre la Pologne qui refuse de les laisser entrer et les policiers bélarusses qui les empêchent de faire demi-tour, et se retrouvent confrontés au froid et à la faim.
Pour les détenteurs des nationalités les plus représentées parmi les migrants, les visas pour le Bélarus ont été plus faciles à obtenir que pour la plupart des autres pays qui ont des frontières terrestres avec l'UE.
Les autorités aéroportuaires libanaises avaient déjà mis un frein aux réservations pour les détenteurs de certaines nationalités sur les vols de la compagnie bélarusse Belavia, dont le nombre de liaisons au départ de Beyrouth avait singulièrement augmenté ces derniers mois.
Source: AFP
Cette mesure a été prise dans une circulaire publiée par l'agence de presse nationale et émise par le ministre du Tourisme, Walid Nassar, qui a déclaré qu'elle visait à empêcher que la capitale Beyrouth ne soit utilisée comme point de départ.
Des milliers de migrants, originaires notamment du Liban, de Syrie et d'Irak, se sont rendus en masse à la frontière entre le Bélarus et la Pologne, dans l'espoir de rejoindre l'UE.
L'Occident accuse le Bélarus - ex-république soviétique soutenue par Moscou - d'avoir orchestré la crise en faisant venir des candidats à l'immigration et en les amenant à la frontière, pour se venger des sanctions occidentales visant le régime autoritaire du président Alexandre Loukachenko, ce que Minsk nie.
Une fois sur place, les migrants sont pris en étau entre la Pologne qui refuse de les laisser entrer et les policiers bélarusses qui les empêchent de faire demi-tour, et se retrouvent confrontés au froid et à la faim.
Pour les détenteurs des nationalités les plus représentées parmi les migrants, les visas pour le Bélarus ont été plus faciles à obtenir que pour la plupart des autres pays qui ont des frontières terrestres avec l'UE.
Les autorités aéroportuaires libanaises avaient déjà mis un frein aux réservations pour les détenteurs de certaines nationalités sur les vols de la compagnie bélarusse Belavia, dont le nombre de liaisons au départ de Beyrouth avait singulièrement augmenté ces derniers mois.
Source: AFP
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