Le ministre de l'Intérieur Bassam Maoulaoui a estimé que «la longue journée électorale était acceptable compte tenu des conditions dans lesquelles nous vivons, nous avons surmonté les défis».
«La situation sécuritaire est surveillée de près depuis hier soir et nous avons mis en œuvre les élections comme nous l’avions promis aux citoyens. Quelles que soient les infractions, elles sont mieux que la situation dans laquelle nous vivions», a-t-il dit, notant que «le taux de participation n'est pas élevé et je me demande si c'est le choix des citoyens ou si cela sert l'orientation politique de ceux qui ont boycotté les élections».
«La participation électorale au Mont-Liban est la plus élevée», a annoncé le ministre, avant de préciser que «le processus de publication des résultats est un peu compliqué», et que les citoyens doivent être «patients». Il a cependant assuré que le processus est garanti et transparent.
Poursuivant son intervention, Bassam Maoulaoui a affirmé: «Je ne cache pas que le processus électoral n'a pas été excellent, nous avons constaté quelques irrégularités et infractions à Baalbeck-Hermel».
«Nous avons suivi la question des abus et des violations dans cette région et effectué les contacts nécessaires. J’ai fait face à beaucoup de défis depuis que j'ai assumé mes fonctions au sein du gouvernement pour conduire le Liban aux élections et je n'ai travaillé que selon mes convictions», a confié le ministre.
Il a ensuite souligné que «l'électricité ne sera pas coupée tant que le processus de dépouillement final des bulletins ne sera pas terminé; nous avons fait un excellent travail et relevé tous les défis.»
En réponse à une vidéo montrant un photographe agressé par des partisans du Hezbollah et toujours détenu par le parti dans la région d'Ansar, M. Maoulaoui a déclaré: «La question sera traitée immédiatement, car la liberté et la dignité du citoyen sont au-dessus de tout, et ce qui nous a menés où nous sommes maintenant est que le citoyen lui-même a sous-estimé sa dignité et accepté de ne pas être libre et d'être humilié.»
«Je suis disponible pour entendre toutes les critiques et tout ce que j'ai reçu, j'y ai travaillé pour y remédier. Nous devons souffrir pour construire un État, mais faisons le premier pas, et ce qui s'est passé aujourd'hui est important», a conclu le ministre de l'Intérieur.
«La situation sécuritaire est surveillée de près depuis hier soir et nous avons mis en œuvre les élections comme nous l’avions promis aux citoyens. Quelles que soient les infractions, elles sont mieux que la situation dans laquelle nous vivions», a-t-il dit, notant que «le taux de participation n'est pas élevé et je me demande si c'est le choix des citoyens ou si cela sert l'orientation politique de ceux qui ont boycotté les élections».
«La participation électorale au Mont-Liban est la plus élevée», a annoncé le ministre, avant de préciser que «le processus de publication des résultats est un peu compliqué», et que les citoyens doivent être «patients». Il a cependant assuré que le processus est garanti et transparent.
Poursuivant son intervention, Bassam Maoulaoui a affirmé: «Je ne cache pas que le processus électoral n'a pas été excellent, nous avons constaté quelques irrégularités et infractions à Baalbeck-Hermel».
«Nous avons suivi la question des abus et des violations dans cette région et effectué les contacts nécessaires. J’ai fait face à beaucoup de défis depuis que j'ai assumé mes fonctions au sein du gouvernement pour conduire le Liban aux élections et je n'ai travaillé que selon mes convictions», a confié le ministre.
Il a ensuite souligné que «l'électricité ne sera pas coupée tant que le processus de dépouillement final des bulletins ne sera pas terminé; nous avons fait un excellent travail et relevé tous les défis.»
En réponse à une vidéo montrant un photographe agressé par des partisans du Hezbollah et toujours détenu par le parti dans la région d'Ansar, M. Maoulaoui a déclaré: «La question sera traitée immédiatement, car la liberté et la dignité du citoyen sont au-dessus de tout, et ce qui nous a menés où nous sommes maintenant est que le citoyen lui-même a sous-estimé sa dignité et accepté de ne pas être libre et d'être humilié.»
«Je suis disponible pour entendre toutes les critiques et tout ce que j'ai reçu, j'y ai travaillé pour y remédier. Nous devons souffrir pour construire un État, mais faisons le premier pas, et ce qui s'est passé aujourd'hui est important», a conclu le ministre de l'Intérieur.
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