Le Grand Prix de Russie de F1, annulé en février en raison de l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe, ne sera pas remplacé, a annoncé mercredi le promoteur du championnat du monde de F1.
Avec cette annonce, le calendrier de la catégorie reine du sport auto repasse à 22 courses cette saison -- contre 23 attendues, ce qui aurait été un record pour la F1.
"Nous avons eu un bon intérêt de la part d'hôtes pour le remplacer, mais nous avons dû évaluer si cela valait la peine pour les équipes et pour tout le monde dans le sport", a expliqué le promoteur de la F1, Formula One, dans un communiqué.
"Il n'y avait aucun intérêt à ajouter une (course) remplaçante si les coûts pour tout le monde en termes de fret, de voyage, d'hôtels, etc. n'en valaient pas la peine. Il s'agissait (…) de prendre en compte l'ensemble du tableau et la valeur commerciale de la course par rapport aux coûts et aux charges plus vastes", a-t-il défendu.
La F2 au Castellet
L'organisation avait annoncé fin février qu'il était impossible d'organiser "dans les circonstances actuelles" le Grand Prix de Russie, prévu du 23 au 25 septembre à Sotchi.
Depuis, différentes options avaient émergées pour le remplacer, comme Singapour, pressentie pour accueillir à ces dates une course, une semaine avant le GP officiel prévu du 30 septembre au 2 octobre dans la Cité-état.
D'autres circuits comme celui d'Hockenheim en Allemagne avaient montré un intérêt, mais "les options en Europe n'étaient pas viables", notamment en raison de certaines règles liées au fret dans l'UE qui auraient constitué un "cauchemar logistique", selon Formula One.
"La décision générale a été prise de faire ce qui est le plus raisonnable et le plus efficace pour tout le monde et de ne pas ajouter des charges à un moment où les coûts externes et les calendriers sont déjà serrés", a expliqué le promoteur. La décision, logique et réaliste a été bien accueillie par l’ensemble des acteurs de la F1.
Si la catégorie reine a fait une croix sur cette manche, la Formule 2, aussi attendue en Russie fin septembre, a en revanche décidé de modifier sa saison pour maintenir 14 courses au calendrier.
Pour la première fois depuis 2019, les monoplaces de F2 feront étape sur le circuit Paul-Ricard du Castellet (Var) du 22 au 24 juillet, en marge du GP de F1 attendu ce week-end là en terres françaises.
Avec cette annonce, le calendrier de la catégorie reine du sport auto repasse à 22 courses cette saison -- contre 23 attendues, ce qui aurait été un record pour la F1.
"Nous avons eu un bon intérêt de la part d'hôtes pour le remplacer, mais nous avons dû évaluer si cela valait la peine pour les équipes et pour tout le monde dans le sport", a expliqué le promoteur de la F1, Formula One, dans un communiqué.
"Il n'y avait aucun intérêt à ajouter une (course) remplaçante si les coûts pour tout le monde en termes de fret, de voyage, d'hôtels, etc. n'en valaient pas la peine. Il s'agissait (…) de prendre en compte l'ensemble du tableau et la valeur commerciale de la course par rapport aux coûts et aux charges plus vastes", a-t-il défendu.
La F2 au Castellet
L'organisation avait annoncé fin février qu'il était impossible d'organiser "dans les circonstances actuelles" le Grand Prix de Russie, prévu du 23 au 25 septembre à Sotchi.
Depuis, différentes options avaient émergées pour le remplacer, comme Singapour, pressentie pour accueillir à ces dates une course, une semaine avant le GP officiel prévu du 30 septembre au 2 octobre dans la Cité-état.
D'autres circuits comme celui d'Hockenheim en Allemagne avaient montré un intérêt, mais "les options en Europe n'étaient pas viables", notamment en raison de certaines règles liées au fret dans l'UE qui auraient constitué un "cauchemar logistique", selon Formula One.
"La décision générale a été prise de faire ce qui est le plus raisonnable et le plus efficace pour tout le monde et de ne pas ajouter des charges à un moment où les coûts externes et les calendriers sont déjà serrés", a expliqué le promoteur. La décision, logique et réaliste a été bien accueillie par l’ensemble des acteurs de la F1.
Si la catégorie reine a fait une croix sur cette manche, la Formule 2, aussi attendue en Russie fin septembre, a en revanche décidé de modifier sa saison pour maintenir 14 courses au calendrier.
Pour la première fois depuis 2019, les monoplaces de F2 feront étape sur le circuit Paul-Ricard du Castellet (Var) du 22 au 24 juillet, en marge du GP de F1 attendu ce week-end là en terres françaises.
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