©Gilles Simon va disputer son dernier Roland-Garros. Photo Matthew Stockman AFP
Gilles Simon joue son dernier Roland-Garros avant de prendre sa retraite à la fin de l'année et le sort lui a réservé comme premier adversaire l'Espagnol Pablo Carreno (17e mondial), un ultime tirage "pas évident", a-t-il estimé vendredi.
"J'ai un tirage pas évident pour un dernier Roland. Encore une fois, je vais juste faire le max et essayer d'en profiter", a déclaré l'ex-6e mondial, aujourd'hui 159e.
"J'ai la chance de pouvoir faire un dernier tournoi de Roland, je vais essayer d'en profiter au maximum", a-t-il insisté. Il a par ailleurs assuré que sa décision de ranger les raquettes à la fin de l'année, annoncée le 7 mai, était irréversible : "il n'y a pas de retour en arrière possible", a-t-il affirmé.
Emotionnellement, "je m'attendais à plus de choses (...) alors que quand je l'ai annoncée, il ne s'est finalement rien passé", a-t-il reconnu.
"Je me suis dit que j'avais pris la bonne décision, que c'était logique, que j'étais complètement et 100% à l'aise avec, pas de regret, pas de pincement au coeur, pas de nostalgie, juste l'impression d'avoir fait tout ce que j'ai pu aussi longtemps que possible. Malheureusement, cela devient trop difficile, il faut s'arrêter là", a encore expliqué Simon.
A 37 ans, après 17 saisons sur le circuit, il compte 14 titres et 498 victoires. Alors serait-il déçu s'il ne parvenait pas à atteindre durant les mois qui viennent la barre symbolique des 500 victoires ?
"Pas du tout, parce que je ne me rappelle pas avoir passé les 400, ni les 300", répond-il du tac au tac. "Arriver à 500 ne va pas changer grand-chose. Est-ce que je m'en sens capable? Ce n'est pas facile. On verra bien. Honnêtement, cela ne changera rien à ma vie, que ce soit atteint ou non".
"J'ai un tirage pas évident pour un dernier Roland. Encore une fois, je vais juste faire le max et essayer d'en profiter", a déclaré l'ex-6e mondial, aujourd'hui 159e.
"J'ai la chance de pouvoir faire un dernier tournoi de Roland, je vais essayer d'en profiter au maximum", a-t-il insisté. Il a par ailleurs assuré que sa décision de ranger les raquettes à la fin de l'année, annoncée le 7 mai, était irréversible : "il n'y a pas de retour en arrière possible", a-t-il affirmé.
Emotionnellement, "je m'attendais à plus de choses (...) alors que quand je l'ai annoncée, il ne s'est finalement rien passé", a-t-il reconnu.
"Je me suis dit que j'avais pris la bonne décision, que c'était logique, que j'étais complètement et 100% à l'aise avec, pas de regret, pas de pincement au coeur, pas de nostalgie, juste l'impression d'avoir fait tout ce que j'ai pu aussi longtemps que possible. Malheureusement, cela devient trop difficile, il faut s'arrêter là", a encore expliqué Simon.
A 37 ans, après 17 saisons sur le circuit, il compte 14 titres et 498 victoires. Alors serait-il déçu s'il ne parvenait pas à atteindre durant les mois qui viennent la barre symbolique des 500 victoires ?
"Pas du tout, parce que je ne me rappelle pas avoir passé les 400, ni les 300", répond-il du tac au tac. "Arriver à 500 ne va pas changer grand-chose. Est-ce que je m'en sens capable? Ce n'est pas facile. On verra bien. Honnêtement, cela ne changera rien à ma vie, que ce soit atteint ou non".
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