©Nadal suscite l’admiration de beaucoup de joueurs du circuit et de ses proches. Photo d’archives AFP
Rafael Nadal, treize fois vainqueur de Roland-Garros mais dont le pied gauche inquiétait en arrivant à Paris, a rassuré en ne laissant que six jeux au premier tour à l'Australien Jordan Thompson (82e), battu 6-2, 6-2, 6-2 lundi sur le Central découvert.
Sa défaite grimaçante et boitillante en huitièmes de finale à Rome il y a une dizaine de jours, face à Denis Shapovalov, avait laissé craindre le pire pour l'Espagnol aux 21 trophées record en Grand Chelem, qui fêtera ses 36 ans le 3 juin.
Dans la capitale italienne, "Rafa" avait été rattrapé par le mal, "chronique et incurable" selon ses mots, qui ronge son pied gauche depuis plus de quinze ans.
Sur le court Philippe-Chatrier rouvert et gagné par la fraîcheur et la grisaille parisienne, il a rassuré son monde : percutant en coup droit, avec lequel il a distribué le jeu de manière tout à fait convaincante par séquences, à l'aise aussi dans ses déplacements les rares fois où il s'est retrouvé en défense, Nadal a imposé sa loi en à peine plus de deux heures.
"C'est un premier tour, c'est un match positif, gagné en trois sets, mais je suis très conscient que j'ai une marge de progression importante. On va y aller pas à pas", a-t-il estimé.
"C'est un cadeau pour moi d'être ici à ce stade de ma carrière, je vais faire le maximum pour me créer des chances", a-t-il ajouté.
Sur ses 27 coups gagnants, vingt ont été frappés en coup droit. "La douleur est toujours là. La question est de savoir si son intensité va me permettre de jouer avec de réelles chances ou non", résumait le Majorquin en amont de la quinzaine.
Pour l'instant, tout va bien. L'attend désormais un face-à-face avec le Français Corentin Moutet (139e), tombeur du revenant Stan Wawrinka en quatre manches 2-6, 6-3, 7-6 (7/2), 6-3.
Sa défaite grimaçante et boitillante en huitièmes de finale à Rome il y a une dizaine de jours, face à Denis Shapovalov, avait laissé craindre le pire pour l'Espagnol aux 21 trophées record en Grand Chelem, qui fêtera ses 36 ans le 3 juin.
Dans la capitale italienne, "Rafa" avait été rattrapé par le mal, "chronique et incurable" selon ses mots, qui ronge son pied gauche depuis plus de quinze ans.
Sur le court Philippe-Chatrier rouvert et gagné par la fraîcheur et la grisaille parisienne, il a rassuré son monde : percutant en coup droit, avec lequel il a distribué le jeu de manière tout à fait convaincante par séquences, à l'aise aussi dans ses déplacements les rares fois où il s'est retrouvé en défense, Nadal a imposé sa loi en à peine plus de deux heures.
"C'est un premier tour, c'est un match positif, gagné en trois sets, mais je suis très conscient que j'ai une marge de progression importante. On va y aller pas à pas", a-t-il estimé.
"C'est un cadeau pour moi d'être ici à ce stade de ma carrière, je vais faire le maximum pour me créer des chances", a-t-il ajouté.
Sur ses 27 coups gagnants, vingt ont été frappés en coup droit. "La douleur est toujours là. La question est de savoir si son intensité va me permettre de jouer avec de réelles chances ou non", résumait le Majorquin en amont de la quinzaine.
Pour l'instant, tout va bien. L'attend désormais un face-à-face avec le Français Corentin Moutet (139e), tombeur du revenant Stan Wawrinka en quatre manches 2-6, 6-3, 7-6 (7/2), 6-3.
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