Le ministre de l'Économie et du Commerce Amine Salam a tenu une conférence de presse lundi après-midi, au cours de laquelle il a abordé la question de la subvention du blé et la mise en œuvre du prêt d'urgence accordé par la Banque mondiale pour soutenir son importation.
Amine Salam a annoncé de prime abord que le but de cette conférence de presse est de parler du blé, de la subvention, des décisions du cabinet et des décisions récemment prises par le ministère de l'Économie et enfin du prêt de la Banque mondiale.
“L'objectif de notre conférence d'aujourd'hui est de remettre les pendules à l’heure, car malheureusement, il y a beaucoup de confusion et de calomnies ainsi que la transmission d'informations de manière injuste, incorrecte et nuisible au travail qui est accompli afin de préserver le pain du citoyen”, a commencé le ministre.
“L'un des principaux dossiers traité depuis le début de notre travail au ministère est la subvention du blé. En effet, le pain constitue le dernier refuge pour les classes les plus pauvres, qui représentent aujourd'hui 80% de la population. La société libanaise est dans une situation difficile, et dès le premier jour j'ai dit que le pain du citoyen est une ligne rouge qui ne doit pas être manipulée”, a-t-il affirmé.
Un mécanisme intégré
Le ministre a poursuivi: “On a beaucoup parlé de lever la subvention sur le blé et je dis en toute honnêteté que nous, au ministère de l'Économie, maintenons et rationalisons la question des subventions selon les principes logiques qui s'appliquent dans tous les pays du monde, où l’intérêt des citoyens est pris en compte. Et nous avons répété que si cela se produisait et que la subvention était levée, alors cela ne devrait pas être traité au hasard, et depuis le premier jour de la prise en charge du ministère de l'Économie, j'ai reçu des commentaires selon lesquels l’État est incapable de poursuivre son soutien”.
Un prêt bonifié de 150 millions de dollars
Le ministre a ensuite expliqué s’être tourné vers la Banque mondiale pour obtenir le prêt bonifié de 150 millions de dollars, qui, comme la carte d’approvisionnement, est un prêt de base, nécessaire et vital. Il a remercié la Banque mondiale, qui a été positive. “Elle a exprimé sa volonté de travailler avec nous en tant que ministère de l'Économie, et de fournir un prêt qui assure la sécurité alimentaire car elle a trouvé une intention et une action sincères. Il était impossible que la Banque mondiale accepte un prêt si facilement, si elle n'avait pas trouvé la confiance et l'honnêteté pour assurer cette denrée vitale”, a-t-il affirmé.
Il a enfin exprimé l'espoir que le nouveau Parlement accélérera son approbation du prêt.
Amine Salam a annoncé de prime abord que le but de cette conférence de presse est de parler du blé, de la subvention, des décisions du cabinet et des décisions récemment prises par le ministère de l'Économie et enfin du prêt de la Banque mondiale.
“L'objectif de notre conférence d'aujourd'hui est de remettre les pendules à l’heure, car malheureusement, il y a beaucoup de confusion et de calomnies ainsi que la transmission d'informations de manière injuste, incorrecte et nuisible au travail qui est accompli afin de préserver le pain du citoyen”, a commencé le ministre.
“L'un des principaux dossiers traité depuis le début de notre travail au ministère est la subvention du blé. En effet, le pain constitue le dernier refuge pour les classes les plus pauvres, qui représentent aujourd'hui 80% de la population. La société libanaise est dans une situation difficile, et dès le premier jour j'ai dit que le pain du citoyen est une ligne rouge qui ne doit pas être manipulée”, a-t-il affirmé.
Un mécanisme intégré
Le ministre a poursuivi: “On a beaucoup parlé de lever la subvention sur le blé et je dis en toute honnêteté que nous, au ministère de l'Économie, maintenons et rationalisons la question des subventions selon les principes logiques qui s'appliquent dans tous les pays du monde, où l’intérêt des citoyens est pris en compte. Et nous avons répété que si cela se produisait et que la subvention était levée, alors cela ne devrait pas être traité au hasard, et depuis le premier jour de la prise en charge du ministère de l'Économie, j'ai reçu des commentaires selon lesquels l’État est incapable de poursuivre son soutien”.
Un prêt bonifié de 150 millions de dollars
Le ministre a ensuite expliqué s’être tourné vers la Banque mondiale pour obtenir le prêt bonifié de 150 millions de dollars, qui, comme la carte d’approvisionnement, est un prêt de base, nécessaire et vital. Il a remercié la Banque mondiale, qui a été positive. “Elle a exprimé sa volonté de travailler avec nous en tant que ministère de l'Économie, et de fournir un prêt qui assure la sécurité alimentaire car elle a trouvé une intention et une action sincères. Il était impossible que la Banque mondiale accepte un prêt si facilement, si elle n'avait pas trouvé la confiance et l'honnêteté pour assurer cette denrée vitale”, a-t-il affirmé.
Il a enfin exprimé l'espoir que le nouveau Parlement accélérera son approbation du prêt.
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