À l’occasion de la "journée de la Libération", le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, s’est adressé comme de coutume aux Libanais, les félicitant pour cette réalisation qu'il considère "sans nul doute, la plus importante, depuis les années 2000". Il a toutefois affirmé que "des développements pourraient se produire dans les prochains jours dans les territoires palestiniens, provoquant une conflagration dans la région".
Remerciant les formations et personnalités politiques qui, à son avis, ont contribué avec mérite à cette "glorieuse victoire", dont principalement le mouvement "Amal", il a tenu à évoquer ce qu'il estime être la "prééminence" du Hezbollah dans la protection du pays et de ses richesses. "Le regroupement autour de la résistance était multiconfessionnel, a-t-il affirmé. Cependant, jamais, la résistance n’a fait l’unanimité au niveau national. Et à ceux qui nous demandent 'qui vous a mandaté pour défendre le pays' ?, nous répondons 'notre conscience'. La victoire nous est accordée par Dieu", a-t-il estimé. Il a rappelé le triptyque "armée-peuple-résistance qui fait la force de l’État", mettant les Libanais devant deux options : "un pays fort et prospère, ou un pays faible, quémandant ses vivres aux portes des nations occidentales et arabes".
Hassan Nasrallah a justifié le fait qu’il ait réclamé que soit ajourné le débat autour des armes de la "résistance" (le Hezbollah) d'environ deux ans, soulignant à ce sujet que l'intérêt devrait être axé pour le moment sur les questions d’ordre économique et social. Pour lui, la priorité devrait être accordée aux problèmes relatifs à l’électricité, les médicaments, le blé… De surcroît, il a assuré que l'État et l’armée risquent de disparaitre. Il a tourné en dérision à cet égard les appels à la remise des armes du Hezbollah à l'armée libanaise.
De plus, selon lui, les discussions autour la stratégie de défense nationale devrait être conditionnées à un accord sur le fait qu'Israël est une "menace permanente". Or il a estimé qu'il y a désaccord à ce niveau.
Le chef du parti de dieu a par ailleurs indiqué que "des événements pourraient se produire dans les prochains jours dans les territoires occupés et entraîner une explosion majeure dans la région". "La marche des drapeaux israéliens constitue une grande provocation, et nous avons vu des appels à la démolition du Dôme du Rocher". Selon lui, "toute attaque contre la mosquée Al-Aqsa et le Dôme du Rocher fera exploser la région, et les conséquences seraient inimaginables".
Remerciant les formations et personnalités politiques qui, à son avis, ont contribué avec mérite à cette "glorieuse victoire", dont principalement le mouvement "Amal", il a tenu à évoquer ce qu'il estime être la "prééminence" du Hezbollah dans la protection du pays et de ses richesses. "Le regroupement autour de la résistance était multiconfessionnel, a-t-il affirmé. Cependant, jamais, la résistance n’a fait l’unanimité au niveau national. Et à ceux qui nous demandent 'qui vous a mandaté pour défendre le pays' ?, nous répondons 'notre conscience'. La victoire nous est accordée par Dieu", a-t-il estimé. Il a rappelé le triptyque "armée-peuple-résistance qui fait la force de l’État", mettant les Libanais devant deux options : "un pays fort et prospère, ou un pays faible, quémandant ses vivres aux portes des nations occidentales et arabes".
Hassan Nasrallah a justifié le fait qu’il ait réclamé que soit ajourné le débat autour des armes de la "résistance" (le Hezbollah) d'environ deux ans, soulignant à ce sujet que l'intérêt devrait être axé pour le moment sur les questions d’ordre économique et social. Pour lui, la priorité devrait être accordée aux problèmes relatifs à l’électricité, les médicaments, le blé… De surcroît, il a assuré que l'État et l’armée risquent de disparaitre. Il a tourné en dérision à cet égard les appels à la remise des armes du Hezbollah à l'armée libanaise.
De plus, selon lui, les discussions autour la stratégie de défense nationale devrait être conditionnées à un accord sur le fait qu'Israël est une "menace permanente". Or il a estimé qu'il y a désaccord à ce niveau.
Le chef du parti de dieu a par ailleurs indiqué que "des événements pourraient se produire dans les prochains jours dans les territoires occupés et entraîner une explosion majeure dans la région". "La marche des drapeaux israéliens constitue une grande provocation, et nous avons vu des appels à la démolition du Dôme du Rocher". Selon lui, "toute attaque contre la mosquée Al-Aqsa et le Dôme du Rocher fera exploser la région, et les conséquences seraient inimaginables".
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