©Le jeu de la Française Leolia Jeanjean n’a pas surpris la Roumaine Begu, samedi à Roland-Garros. Thomas Samson/AFP
La marche était trop haute pour Leolia Jeanjean. La Française, qui écrivait la plus belle histoire de Roland-Garros, a été surclassée samedi au troisième tour, 6-1, 6-4, par la Roumaine Irina-Camelia Begu.
Après avoir fait tomber la N.8 mondiale Karolina Pliskova, le registre de Jeanjean n'a pas surpris Begu, classée 63e.
"Contrairement aux autres tours, elle m'a plus dérangé que l'inverse. (...) Je n'ai pas réussi à trouver les solutions", a regretté en conférence de presse la Française, qui ne veut retenir que le meilleur dans la belle expérience qu'elle vient de vivre.
"C'est un pur bonheur d'avoir pu vivre ce genre de moments. (...) Après évidemment que j'aurais aimé faire mieux (...) et que c'est un peu dur de gérer la défaite, mais avec le recul c'est sûr que j'ai vécu un moment génial, sans doute le meilleur moment de ma vie, donc je suis très contente", a-t-elle ajouté.
Face à la Roumaine, comme si minuit avait sonné pour la Cendrillon de la Porte d'Auteuil, Leolia Jeanjean, qui pointe à la 227e place mondiale, a multiplié les fautes directes (27) malgré les conjurations des tribunes du court Suzanne-Lenglen.
Après avoir manqué cinq balles de break dans le premier jeu, l'ex-enfant prodige du tennis français, au parcours fracassé par une blessure à 13 ans, s'est effondrée.
La droitière de 26 ans a d'abord offert le premier break à son adversaire avec une double faute avant de lâcher un deuxième jeu de service blanc.
Toujours aussi fébrile en seconde manche, Jeanjean a retrouvé de sa magie trop tard, en fin de partie, en obtenant 5 balles de break, sans les convertir, dans un jeu à rallonge de plus de 12 minutes.
Revenue sur le circuit professionnel fin 2020, la Toulousaine repart de Roland-Garros avec quelques certitudes. Son exploit contre Pliskova a fait d'elle la joueuse la moins bien classée à battre une membre du top 10 féminin dans le Grand Chelem parisien depuis Conchita Martinez, alors débutante sur le circuit, en 1988. Son beau parcours devrait lui permettre d'entrer dans le top 150 lors du prochain classement WTA.
Après son élimination, il ne reste que trois Français en lice: dans le tableau féminin, Alizé Cornet affronte dans l'après-midi la Chinoise Qinwen Zheng; dans le tableau masculin, le vétéran Gilles Simon est programmé juste après sa compatriote face au Croate Marin Cilic avant que Hugo Gaston défie la pépite danoise Holger Rune en session nocturne.
Après avoir fait tomber la N.8 mondiale Karolina Pliskova, le registre de Jeanjean n'a pas surpris Begu, classée 63e.
"Contrairement aux autres tours, elle m'a plus dérangé que l'inverse. (...) Je n'ai pas réussi à trouver les solutions", a regretté en conférence de presse la Française, qui ne veut retenir que le meilleur dans la belle expérience qu'elle vient de vivre.
"C'est un pur bonheur d'avoir pu vivre ce genre de moments. (...) Après évidemment que j'aurais aimé faire mieux (...) et que c'est un peu dur de gérer la défaite, mais avec le recul c'est sûr que j'ai vécu un moment génial, sans doute le meilleur moment de ma vie, donc je suis très contente", a-t-elle ajouté.
Face à la Roumaine, comme si minuit avait sonné pour la Cendrillon de la Porte d'Auteuil, Leolia Jeanjean, qui pointe à la 227e place mondiale, a multiplié les fautes directes (27) malgré les conjurations des tribunes du court Suzanne-Lenglen.
Après avoir manqué cinq balles de break dans le premier jeu, l'ex-enfant prodige du tennis français, au parcours fracassé par une blessure à 13 ans, s'est effondrée.
La droitière de 26 ans a d'abord offert le premier break à son adversaire avec une double faute avant de lâcher un deuxième jeu de service blanc.
Toujours aussi fébrile en seconde manche, Jeanjean a retrouvé de sa magie trop tard, en fin de partie, en obtenant 5 balles de break, sans les convertir, dans un jeu à rallonge de plus de 12 minutes.
Revenue sur le circuit professionnel fin 2020, la Toulousaine repart de Roland-Garros avec quelques certitudes. Son exploit contre Pliskova a fait d'elle la joueuse la moins bien classée à battre une membre du top 10 féminin dans le Grand Chelem parisien depuis Conchita Martinez, alors débutante sur le circuit, en 1988. Son beau parcours devrait lui permettre d'entrer dans le top 150 lors du prochain classement WTA.
Après son élimination, il ne reste que trois Français en lice: dans le tableau féminin, Alizé Cornet affronte dans l'après-midi la Chinoise Qinwen Zheng; dans le tableau masculin, le vétéran Gilles Simon est programmé juste après sa compatriote face au Croate Marin Cilic avant que Hugo Gaston défie la pépite danoise Holger Rune en session nocturne.
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