Le porte-parole de la Finul, Andrea Tenenti, fait part d’une «grande inquiétude» face aux agressions répétées dans la partie sud du Liban contre des Casques bleus de la Finul.
Le porte-parole de la Finul, Andrea Tenenti, a mis en garde dimanche contre la poursuite d’agressions contre des Casques bleus de la Finul au Liban-Sud, à la suite d’une attaque samedi contre une patrouille de la force internationale de paix.
Dans un communiqué, M. Tenenti a révélé que des hommes en tenue civile ont arrêté et menacé samedi des soldats de la Finul qui effectuaient une ronde de routine dans le périmètre du village Arab el-Loueizé au Liban-Sud. «Les agresseurs ont essayé de désarmer la patrouille», selon le porte-parole de la Finul qui a appelé l’armée libanaise à «garantir la sécurité et la liberté de circulation des membres de la force internationale».
«Les agressions, les menaces et l’intimidation répétées contre les Casques bleus, lesquels se trouvent au Liban au service de la paix, sont devenues une source de grande inquiétude», a-t-il souligné, rappelant qu’«en vertu de la résolution 1701 du Conseil de sécurité (2006), la Finul jouit d’une liberté de mouvement complète et du droit de patrouiller dans sa zone d’opérations».
«Le secrétaire général des Nations unies et le Conseil de sécurité ont fortement dénoncé ce genre d’incidents, sachant que la liberté d’action des membres de la Finul est complète et que leur sécurité est intrinsèquement liée à la réussite de leur action conformément à la 1701», a insisté M. Tenenti, en rappelant que «le souci premier de la force internationale est de préserver la stabilité au Liban-Sud, en coordination avec l’armée et avec le soutien des habitants de cette région».
Il a affirmé dans ce contexte «l’attachement de la Finul à ses relations, vieilles et fructueuses avec les communautés locales» avant de rappeler que les Casques bleus «effectuent tous les jours des centaines de rondes et d’opérations visant toutes à préserver la stabilité dans la partie méridionale du pays et à soutenir les communautés locales».
Des Casques bleus de la Finul sont régulièrement attaqués ou harcelés dans les régions où le Hezbollah est prépondérant, mais sans que la responsabilité directe de la formation pro-iranienne ne soit retenue.
Le porte-parole de la Finul, Andrea Tenenti, a mis en garde dimanche contre la poursuite d’agressions contre des Casques bleus de la Finul au Liban-Sud, à la suite d’une attaque samedi contre une patrouille de la force internationale de paix.
Dans un communiqué, M. Tenenti a révélé que des hommes en tenue civile ont arrêté et menacé samedi des soldats de la Finul qui effectuaient une ronde de routine dans le périmètre du village Arab el-Loueizé au Liban-Sud. «Les agresseurs ont essayé de désarmer la patrouille», selon le porte-parole de la Finul qui a appelé l’armée libanaise à «garantir la sécurité et la liberté de circulation des membres de la force internationale».
«Les agressions, les menaces et l’intimidation répétées contre les Casques bleus, lesquels se trouvent au Liban au service de la paix, sont devenues une source de grande inquiétude», a-t-il souligné, rappelant qu’«en vertu de la résolution 1701 du Conseil de sécurité (2006), la Finul jouit d’une liberté de mouvement complète et du droit de patrouiller dans sa zone d’opérations».
«Le secrétaire général des Nations unies et le Conseil de sécurité ont fortement dénoncé ce genre d’incidents, sachant que la liberté d’action des membres de la Finul est complète et que leur sécurité est intrinsèquement liée à la réussite de leur action conformément à la 1701», a insisté M. Tenenti, en rappelant que «le souci premier de la force internationale est de préserver la stabilité au Liban-Sud, en coordination avec l’armée et avec le soutien des habitants de cette région».
Il a affirmé dans ce contexte «l’attachement de la Finul à ses relations, vieilles et fructueuses avec les communautés locales» avant de rappeler que les Casques bleus «effectuent tous les jours des centaines de rondes et d’opérations visant toutes à préserver la stabilité dans la partie méridionale du pays et à soutenir les communautés locales».
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