La Banque du Liban (BDL) tente d’alléger les pressions spéculatives sur la livre libanaise. Elle a mis en oeuvre, depuis lundi, un nouveau cadre pour effectuer les transactions de conversion sur sa plateforme de change, Sayrafa.
Le gouverneur de la BDL, Riad Salamé, a décidé de fixer à 500$ par mois le plafond de la valeur des transactions effectuées par chaque individu sur la plateforme de change Sayrafa. Il a ainsi voulu couper court aux manipulations des spéculateurs qui avaient abusé de l’application de la circulaire 161. Cette catégorie de personnes s’était adonnée sans scrupules à des opérations de change sur Sayrafa pour dégager des gains provenant de la différence de la marge des taux de change entre Sayrafa et le marché parallèle.
Pour rappel, la circulaire 161 de la BDL prévoit la vente de dollars en espèces, sans plafond, au taux de Sayrafa, à toute personne qui se présente au guichet d’une banque avec des liasses de livres libanaises.
La BDL a signifié lundi aux banques le plafond de la valeur des transactions de change sur Sayrafa autorisée à chaque particulier, ainsi que sa volonté de réglementer par la suite le volume des opérations de cette nature que chaque banque est autorisée à effectuer, et le mécanisme qui sera adopté pour vendre des dollars en espèces aux entreprises et aux importateurs.
Le volume de la valeur des transactions sur Sayrafa a rapidement reflété les nouvelles mesures de la BDL visant à réduire les pressions spéculatives sur la livre. Lundi, la valeur des transactions a totalisé 55.000.000 $, contre 47.000.000 $ mardi.
Quant au taux de change du billet vert sur le marché parallèle, il a flirté avec les 30.000 LL pour un dollar au cours de la journée de mardi, alors que celui de Sayrafa était fixé à 24.900 LL pour un dollar.
Le gouverneur de la BDL, Riad Salamé, a décidé de fixer à 500$ par mois le plafond de la valeur des transactions effectuées par chaque individu sur la plateforme de change Sayrafa. Il a ainsi voulu couper court aux manipulations des spéculateurs qui avaient abusé de l’application de la circulaire 161. Cette catégorie de personnes s’était adonnée sans scrupules à des opérations de change sur Sayrafa pour dégager des gains provenant de la différence de la marge des taux de change entre Sayrafa et le marché parallèle.
Pour rappel, la circulaire 161 de la BDL prévoit la vente de dollars en espèces, sans plafond, au taux de Sayrafa, à toute personne qui se présente au guichet d’une banque avec des liasses de livres libanaises.
La BDL a signifié lundi aux banques le plafond de la valeur des transactions de change sur Sayrafa autorisée à chaque particulier, ainsi que sa volonté de réglementer par la suite le volume des opérations de cette nature que chaque banque est autorisée à effectuer, et le mécanisme qui sera adopté pour vendre des dollars en espèces aux entreprises et aux importateurs.
Le volume de la valeur des transactions sur Sayrafa a rapidement reflété les nouvelles mesures de la BDL visant à réduire les pressions spéculatives sur la livre. Lundi, la valeur des transactions a totalisé 55.000.000 $, contre 47.000.000 $ mardi.
Quant au taux de change du billet vert sur le marché parallèle, il a flirté avec les 30.000 LL pour un dollar au cours de la journée de mardi, alors que celui de Sayrafa était fixé à 24.900 LL pour un dollar.
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