©Le président lyonnais, Jean-Michel Aulas, s'exprime devant le tableau des cotations de l'action de l'OL, le 9 février 2007 à Lyon. Jeff Pachoud/AFP/Archives
L'OL Groupe, la holding cotée à la Bourse de Paris représentant l'Olympique lyonnais, a demandé la suspension de sa cotation lundi en pleine discussion pour l'arrivée au capital du club de nouveaux investisseurs.
L'opérateur de la Bourse de Paris Euronext a suspendu le cours "à la demande de la société, dans l'attente de la publication d'un communiqué de presse", selon un avis publié lundi.
Au début du mois, le président historique du club, Jean-Michel Aulas, avait annoncé son intention d'avoir "conclu le sujet" de l'arrivée de nouveaux investisseurs d'ici au 23 juin.
Selon la presse, plusieurs candidats se sont montrés intéressés pour le rachat des parts du groupe Pathé et du fonds d'investissement chinois IDG, représentant au total près de 40% des actions du groupe.
Mais, alors que l'homme d'affaires américain Foster Gillett faisait figure de favori, RMC Sport a rapporté lundi que l'Américain John Textor, déjà propriétaire des clubs de Botafogo (Brésil) et Molenbeek (D2 belge) et présent au capital de Crystal Palace (Angleterre), pourrait être le candidat retenu.
John Textor, homme d'affaires spécialisé notamment dans la diffusion de sport en ligne et les images de célébrités en réalité virtuelle, avait acquis en août dernier 18% des actions de Crystal Palace, club de la banlieue sud de Londres évoluant en Premier League. Puis, en janvier, Textor (56 ans) a repris 90% du capital de Botafogo, un des plus grands clubs du Brésil, puis 80% des actions du RWD Molenbeek, qui ambitionne de retrouver l'élite du football belge.
Si un investisseur rachetait seul les parts de Pathé et IDG, il prendrait le contrôle de l'OL. Jean-Michel Aulas, président depuis juin 1987, reste aujourd'hui l'actionnaire majoritaire via sa holding familiale Holnest qui détient 27,72% du capital et a déjà annoncé sa volonté de rester aux commandes du club après l'opération.
OL Groupe a été lancé en Bourse en 2007, au prix de 24 euros par action. Mais le titre n'a pas remporté de succès sur les marchés financiers. Avant la suspension, une action valait 3,07 euros, en hausse de plus de 50% depuis le 1er janvier, dopée par le processus de vente.
L'opérateur de la Bourse de Paris Euronext a suspendu le cours "à la demande de la société, dans l'attente de la publication d'un communiqué de presse", selon un avis publié lundi.
Au début du mois, le président historique du club, Jean-Michel Aulas, avait annoncé son intention d'avoir "conclu le sujet" de l'arrivée de nouveaux investisseurs d'ici au 23 juin.
Selon la presse, plusieurs candidats se sont montrés intéressés pour le rachat des parts du groupe Pathé et du fonds d'investissement chinois IDG, représentant au total près de 40% des actions du groupe.
Mais, alors que l'homme d'affaires américain Foster Gillett faisait figure de favori, RMC Sport a rapporté lundi que l'Américain John Textor, déjà propriétaire des clubs de Botafogo (Brésil) et Molenbeek (D2 belge) et présent au capital de Crystal Palace (Angleterre), pourrait être le candidat retenu.
John Textor, homme d'affaires spécialisé notamment dans la diffusion de sport en ligne et les images de célébrités en réalité virtuelle, avait acquis en août dernier 18% des actions de Crystal Palace, club de la banlieue sud de Londres évoluant en Premier League. Puis, en janvier, Textor (56 ans) a repris 90% du capital de Botafogo, un des plus grands clubs du Brésil, puis 80% des actions du RWD Molenbeek, qui ambitionne de retrouver l'élite du football belge.
Si un investisseur rachetait seul les parts de Pathé et IDG, il prendrait le contrôle de l'OL. Jean-Michel Aulas, président depuis juin 1987, reste aujourd'hui l'actionnaire majoritaire via sa holding familiale Holnest qui détient 27,72% du capital et a déjà annoncé sa volonté de rester aux commandes du club après l'opération.
OL Groupe a été lancé en Bourse en 2007, au prix de 24 euros par action. Mais le titre n'a pas remporté de succès sur les marchés financiers. Avant la suspension, une action valait 3,07 euros, en hausse de plus de 50% depuis le 1er janvier, dopée par le processus de vente.
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