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- Entre Bassil et Mikati, le fossé s’élargit
Contrairement aux informations qui circulent, le président du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, n’a pas réclamé des portefeuilles ministériels, rapporte un de ses visiteurs, qui assure que M. Bassil tient également au principe de rotation à la tête des ministères. Aussi, refuse-t-il que ministère des Finances soit attribué à une personnalité chiite.
Toujours selon cette source, M. Bassil ne nommera pas, lors des consultations parlementaires contraignantes prévues le jeudi 23 juin pour désigner un Premier ministre, le chef du cabinet sortant, Najib Mikati, mais plutôt un expert reconnu et apprécié par la diaspora.
Le chef du CPL souhaite également qu’un gouvernement politique voie le jour le plus tôt possible. Celui-ci sera chargé de mettre en place un nouveau plan de redressement économique, puisque M. Bassil s’oppose à celui établi par le gouvernement de M. Mikati. De plus, il appelle à nommer un remplaçant au gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, pour paver la voie à une solution à la crise financière et économique qui sévit au Liban, ainsi qu’au commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, mais aussi à écarter tous «les symboles» du régime.
Selon le visiteur de M. Bassil, au cas où M. Mikati est désigné Premier ministre, il aura du mal à former un gouvernement. Une rencontre entre les deux hommes est peu probable, malgré les médiations menées dans ce sens.
Toujours selon cette source, M. Bassil ne nommera pas, lors des consultations parlementaires contraignantes prévues le jeudi 23 juin pour désigner un Premier ministre, le chef du cabinet sortant, Najib Mikati, mais plutôt un expert reconnu et apprécié par la diaspora.
Le chef du CPL souhaite également qu’un gouvernement politique voie le jour le plus tôt possible. Celui-ci sera chargé de mettre en place un nouveau plan de redressement économique, puisque M. Bassil s’oppose à celui établi par le gouvernement de M. Mikati. De plus, il appelle à nommer un remplaçant au gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, pour paver la voie à une solution à la crise financière et économique qui sévit au Liban, ainsi qu’au commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, mais aussi à écarter tous «les symboles» du régime.
Selon le visiteur de M. Bassil, au cas où M. Mikati est désigné Premier ministre, il aura du mal à former un gouvernement. Une rencontre entre les deux hommes est peu probable, malgré les médiations menées dans ce sens.
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