©Le Serbe Novak Djokovic contre l'Australien Thanasi Kokkinakis au 2e tour de Wimbledon, mercredi à Londres. Sebastien Bozon/AFP
Novak Djokovic est très nettement monté en puissance mercredi au 2e tour de Wimbledon où la Française Caroline Garcia a dominé de la tête et des épaules la favorite du public et lauréate du dernier US Open, Emma Raducanu.
"Le vent a rendu le service compliqué, mais j'ai réalisé une performance de très haute qualité", s'est félicité le Serbe, triple tenant du titre, après avoir balayé l'Australien Thanasi Kokkinakis (79e) 6-1, 6-4, 6-2 en 2h00.
N'ayant pas joué de tournoi de préparation sur gazon, le N.3 mondial avait cédé un set lors de son entrée en lice lundi face au Sud-Coréen Soonwoo Kwon (81e).
Mais il n'a pas laissé la moindre ouverture à Kokkinakis, qui n'a jamais réussi à se procurer de balle de break.
"Je suis content d'avoir autant élevé mon niveau de jeu en deux jours. J'espère continuer sur cette pente ascendante", a souligné Djokovic.
Son adversaire a décrit l'impuissance dans laquelle il s'est retrouvé sur le Centre Court.
"C'est un mur, a expliqué l'Australien au sujet de son vainqueur. On a l'impression de jouer contre un mur. Il a tout bien fait. Il a eu un haut pourcentage de premières balles, il a très bien retourné. Il a été bon à la volée. Il m'a simplement rendu la situation inconfortable. Et tactiquement, il était au-dessus".
Coéquipiers
Dans sa quête d'un septième titre à Wimbledon, qui le ramènerait à une longueur du record de 22 titres du Grand Chelem détenu par Rafael Nadal, Djokovic affrontera au prochain tour son coéquipier de Coupe Davis Miomir Kecmanovic (30e).
Mais d'ores et déjà, le Djoker a endossé de plein droit le statut de favori du tournoi.
Si Djokovic a pris son envol, le finaliste de Roland-Garros Casper Ruud (6e), lui, est retombé sur terre, battu par le Français Ugo Humbert (112e) qui semble retrouver sur sa surface favorite le tennis qui lui avait permis d'atteindre le 25e rang mondial en juin 2021.
A 24 ans, Humbert a en effet battu le Norvégien 3-6, 6-3, 7-5, 6-4 et affrontera au troisième tour le Belge David Goffin (58e) pour tenter de retrouver les 8es de finale qu'il avait déjà atteints pour sa première participation en 2019.
L'an dernier, il avait perdu dès le premier tour après avoir livré une bataille homérique en cinq manches contre l'Australien Nick Kyrgios.
"C'est une super victoire, surtout en ce moment où c'est un peu compliqué...", a soufflé Humbert qui ne se "fixe pas d'objectif" dans ce tournoi mais qui a "envie que l'histoire continue".
La loi de Garcia
L'histoire s'est en revanche déjà arrêtée pour la Britannique et favorite du public Emma Raducanu: la lauréate surprise du dernier US Open a subi la loi de la Française Caroline Garcia qui l'a balayée 6-3, 6-3.
"C'est moi qui étais en position agressive, c'est moi qui menais les échanges, au service comme au retour", a expliqué la Française (55e), qui a retrouvé le dynamisme lui permettant d'imposer son jeu.
"J'avais les choses en mains, mais dès que je ralentissais un peu le jeu, que je lui laissais un peu l'échange à son compte, elle revenait direct", a-t-elle souligné.
Le public, logiquement tout acquis à sa cause, n'a pas suffi à donner à Raducanu la clé pour déstabiliser Garcia qui jouait pourtant pour la première fois de sa carrière sur le Centre Court, à 28 ans et pour sa 9e participation à Wimbledon.
Au chapitre des déconvenues, le tableau féminin a perdu mercredi la N.3 mondiale Anett Kontaveit, battue 6-4, 6-0 au 2e tour par l'Allemande Jule Niemeier (97e) qui participe à son deuxième tournoi du Grand Chelem.
Déception aussi pour la lauréate 2017 Garbine Muguruza qui a été soufflée par la Belge Greet Minnen (88e) 6-4, 6-0, dans un match du premier tour qui avait dû être reprogrammé en raison de la pluie mardi.
Ça passe en revanche pour la finaliste de l'an passé Karolina Pliskova (7e), dans un autre match en retard du premier tour remporté aux dépens de sa compatriote tchèque Tereza Martincova (61e) 7-6 (7/1), 7-5.
"Le vent a rendu le service compliqué, mais j'ai réalisé une performance de très haute qualité", s'est félicité le Serbe, triple tenant du titre, après avoir balayé l'Australien Thanasi Kokkinakis (79e) 6-1, 6-4, 6-2 en 2h00.
N'ayant pas joué de tournoi de préparation sur gazon, le N.3 mondial avait cédé un set lors de son entrée en lice lundi face au Sud-Coréen Soonwoo Kwon (81e).
Mais il n'a pas laissé la moindre ouverture à Kokkinakis, qui n'a jamais réussi à se procurer de balle de break.
"Je suis content d'avoir autant élevé mon niveau de jeu en deux jours. J'espère continuer sur cette pente ascendante", a souligné Djokovic.
Son adversaire a décrit l'impuissance dans laquelle il s'est retrouvé sur le Centre Court.
"C'est un mur, a expliqué l'Australien au sujet de son vainqueur. On a l'impression de jouer contre un mur. Il a tout bien fait. Il a eu un haut pourcentage de premières balles, il a très bien retourné. Il a été bon à la volée. Il m'a simplement rendu la situation inconfortable. Et tactiquement, il était au-dessus".
Coéquipiers
Dans sa quête d'un septième titre à Wimbledon, qui le ramènerait à une longueur du record de 22 titres du Grand Chelem détenu par Rafael Nadal, Djokovic affrontera au prochain tour son coéquipier de Coupe Davis Miomir Kecmanovic (30e).
Mais d'ores et déjà, le Djoker a endossé de plein droit le statut de favori du tournoi.
Si Djokovic a pris son envol, le finaliste de Roland-Garros Casper Ruud (6e), lui, est retombé sur terre, battu par le Français Ugo Humbert (112e) qui semble retrouver sur sa surface favorite le tennis qui lui avait permis d'atteindre le 25e rang mondial en juin 2021.
A 24 ans, Humbert a en effet battu le Norvégien 3-6, 6-3, 7-5, 6-4 et affrontera au troisième tour le Belge David Goffin (58e) pour tenter de retrouver les 8es de finale qu'il avait déjà atteints pour sa première participation en 2019.
L'an dernier, il avait perdu dès le premier tour après avoir livré une bataille homérique en cinq manches contre l'Australien Nick Kyrgios.
"C'est une super victoire, surtout en ce moment où c'est un peu compliqué...", a soufflé Humbert qui ne se "fixe pas d'objectif" dans ce tournoi mais qui a "envie que l'histoire continue".
La loi de Garcia
L'histoire s'est en revanche déjà arrêtée pour la Britannique et favorite du public Emma Raducanu: la lauréate surprise du dernier US Open a subi la loi de la Française Caroline Garcia qui l'a balayée 6-3, 6-3.
"C'est moi qui étais en position agressive, c'est moi qui menais les échanges, au service comme au retour", a expliqué la Française (55e), qui a retrouvé le dynamisme lui permettant d'imposer son jeu.
"J'avais les choses en mains, mais dès que je ralentissais un peu le jeu, que je lui laissais un peu l'échange à son compte, elle revenait direct", a-t-elle souligné.
Le public, logiquement tout acquis à sa cause, n'a pas suffi à donner à Raducanu la clé pour déstabiliser Garcia qui jouait pourtant pour la première fois de sa carrière sur le Centre Court, à 28 ans et pour sa 9e participation à Wimbledon.
Au chapitre des déconvenues, le tableau féminin a perdu mercredi la N.3 mondiale Anett Kontaveit, battue 6-4, 6-0 au 2e tour par l'Allemande Jule Niemeier (97e) qui participe à son deuxième tournoi du Grand Chelem.
Déception aussi pour la lauréate 2017 Garbine Muguruza qui a été soufflée par la Belge Greet Minnen (88e) 6-4, 6-0, dans un match du premier tour qui avait dû être reprogrammé en raison de la pluie mardi.
Ça passe en revanche pour la finaliste de l'an passé Karolina Pliskova (7e), dans un autre match en retard du premier tour remporté aux dépens de sa compatriote tchèque Tereza Martincova (61e) 7-6 (7/1), 7-5.
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