Récompenser « l’audace et la singularité », c’est l’ambition affichée du « prix Joséphine », une nouvelle décoration musicale décernée en France par un jury d’artistes, comprenant la chanteuse Imany ou l’auteure-compositrice-interprète Keren Ann, qui a dévoilé son palmarès des dix albums de l’année.
Parmi ces prétendants pour l’album lauréat qui sera révélé en septembre, on retrouve des artistes bien établis comme OrelSan avec son quatrième album « Civilisation », mais aussi des talents plus émergents tels que la musicienne Leonie Pernet et la « samouraï du rap » Eesah Yasuke.
Une diversité dans les profils, saluée par Keren Ann, présidente du jury qui comprend aussi les métiers de la musique : « Le Prix Joséphine, ça fait très longtemps qu’on l’attendait en France ».
« Le lauréat choisi par un jury d’artistes, c’est un peu comme le Prix Goncourt, mais en musique », poursuit-elle. « Ça m’a parlé tout de suite et je me suis dit que j’aimerais totalement faire partie du comité d’artistes qui écoutent, découvrent et font découvrir le palmarès d’albums qui méritent d’être entendus, vus, écoutés aujourd’hui en France ».
Avec le Prix Joséphine, lancé cette année, ses deux fondateurs, Christophe Palatre et Frédéric Junqua, grands connaisseurs du secteur, voulaient « récompenser l’audace artistique ».
Pourquoi ce nom ? « On trouvait qu’il y avait deux personnes qui représentaient vraiment ses valeurs », explique le premier.
« C’est d’un côté Joséphine Baker pour le métissage culturel, tout ce qu’elle a pu amener en France avec elle. Et aussi Alain Bashung, quelque part l’un des plus grands artistes francophones qu’on ait pu connaître jusqu’à maintenant », auteur de l’album « Osez Joséphine ».
« On constate qu’il y a un élan nouveau dans la production musicale en France, avec une richesse de la production, une diversité importante d’artistes, un mélange des genres », poursuit Frédéric Junqua. « Et on voulait un prix qui fasse la part belle à la qualité de la production et à l’excellence artistique. »
AFP
Parmi ces prétendants pour l’album lauréat qui sera révélé en septembre, on retrouve des artistes bien établis comme OrelSan avec son quatrième album « Civilisation », mais aussi des talents plus émergents tels que la musicienne Leonie Pernet et la « samouraï du rap » Eesah Yasuke.
Une diversité dans les profils, saluée par Keren Ann, présidente du jury qui comprend aussi les métiers de la musique : « Le Prix Joséphine, ça fait très longtemps qu’on l’attendait en France ».
« Le lauréat choisi par un jury d’artistes, c’est un peu comme le Prix Goncourt, mais en musique », poursuit-elle. « Ça m’a parlé tout de suite et je me suis dit que j’aimerais totalement faire partie du comité d’artistes qui écoutent, découvrent et font découvrir le palmarès d’albums qui méritent d’être entendus, vus, écoutés aujourd’hui en France ».
Avec le Prix Joséphine, lancé cette année, ses deux fondateurs, Christophe Palatre et Frédéric Junqua, grands connaisseurs du secteur, voulaient « récompenser l’audace artistique ».
Pourquoi ce nom ? « On trouvait qu’il y avait deux personnes qui représentaient vraiment ses valeurs », explique le premier.
« C’est d’un côté Joséphine Baker pour le métissage culturel, tout ce qu’elle a pu amener en France avec elle. Et aussi Alain Bashung, quelque part l’un des plus grands artistes francophones qu’on ait pu connaître jusqu’à maintenant », auteur de l’album « Osez Joséphine ».
« On constate qu’il y a un élan nouveau dans la production musicale en France, avec une richesse de la production, une diversité importante d’artistes, un mélange des genres », poursuit Frédéric Junqua. « Et on voulait un prix qui fasse la part belle à la qualité de la production et à l’excellence artistique. »
AFP
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