L’ambassade du Brésil à Beyrouth et le centre culturel Brésil-Liban (Brasiliban), en collaboration avec l’association Metropolis, ont le plaisir de présenter le cinquième Festival du film brésilien, qui se déroulera du 18 au 21 juillet 2022 sur l’esplanade du musée Sursock.
Pour la première fois, toutes les sessions du Festival du film brésilien se dérouleront en plein air et gratuitement, dans le cadre des efforts de l’ambassade du Brésil pour fournir des options culturelles de haute qualité, accompagnées de mesures sanitaires anti-Covid.
Le festival s’ouvrira avec le film A Vida Invisível de Eurídice Gusmão («La vie invisible d’Eurídice Gusmão»), réalisé par Karim Aïnouz, qui a remporté le prix Un certain Regard au Festival de Cannes en 2019. Le film se déroule à Rio de Janeiro dans les années 1940. Guida et Euridice Gusmão sont deux sœurs inséparables vivant avec leurs parents conservateurs. Bien qu’immergées dans une vie traditionnelle, chacune nourrit un rêve: Eurídice de devenir une pianiste de renom, Guida de trouver le véritable amour. Dans un tournant dramatique, elles sont séparées par leur père et forcées de vivre séparément. Elles prennent en main leur destin séparé, sans jamais abandonner l’espoir de se retrouver.
Zoom sur les trois autres projections:
Pacarrete, réalisé par Allan Deberton: Une vieille femme excentrique danse au rythme de son propre tambour dans le premier long métrage poignant d’Allan Deberton. Pacarrete (la sublime Marcelia Cartaxo), une ancienne danseuse de ballet qui vit dans le nord-est du Brésil, décide de dépoussiérer son tutu et ses chaussons de danse pour exécuter une danse classique pour la célébration du 200e anniversaire de sa ville, que les citadins le veuillent ou non. Une large comédie devient de plus en plus contemplative à mesure que la vraie nature de la vie quotidienne de Pacarrete devient apparente.
Meu Nome é Bagdá («Mon nom est Bagdad»), réalisé par Caru Alves de Souza: Bagdad est une patineuse de 17 ans qui vit à Freguesia do Ó, un quartier ouvrier de la ville de São Paulo, Brésil. Bagdad fait du skateboard avec un groupe d’amis masculins et passe beaucoup de temps avec sa famille et les amis de sa mère. Ensemble, les femmes qui l’entourent forment un réseau de personnes qui sortent de l’ordinaire. Lorsque Bagdad rencontre un groupe de skateuses, sa vie change soudainement.
Três Verões («Trois étés»), réalisé par Sandra Kogut: Chaque décembre, entre Noël et le Nouvel An, Edgar et Marta organisent une somptueuse fête de famille dans leur luxueuse maison d’été au bord de la plage. En 2015, tout semble aller bien, malgré quelques appels téléphoniques tendus et un invité portant un moniteur de cheville. En 2016, la fête annuelle est brusquement annulée. Qu’advient-il des personnes invisibles vivant dans l’orbite des riches et des puissants lorsque ces vies s’effondrent? À travers le regard d’un employé et d’un père âgé oublié, tous deux victimes du cauchemar néolibéral, on aperçoit un portrait du Brésil contemporain juste avant la tragédie de 2018. Les signes étaient tous là, mais on ne savait pas les lire.
Tous les films projetés dans le cadre du cinquième Festival du film brésilien sont programmés sur l’esplanade du musée Sursock, à Achrafieh, du 18 juillet au 21 juillet, et sont accompagnés de sous-titres en anglais.
Programme des projections :
Lundi 18 juillet: Ouverture à 20h/ Projection: 20h30
A Vida Invisível de Eurídice Gusmão («La vie invisible d’Eurídice Gusmão») de Karim Aïnouz (2h19min)
Mardi 19 juillet à 20h30: Pacarrete d'Allan Deberton (1h37min)
Mercredi 20 juillet à 20h30: Meu Nome é Bagdá («Mon nom est Bagdad») de Caru Alves de Souza (1h36min)
Jeudi 21 juillet à 20h30: Três Verões («Trois étés») de Sandra Kogut (1h34min)
Entrée libre | RSVP ici.
Pour la première fois, toutes les sessions du Festival du film brésilien se dérouleront en plein air et gratuitement, dans le cadre des efforts de l’ambassade du Brésil pour fournir des options culturelles de haute qualité, accompagnées de mesures sanitaires anti-Covid.
Le festival s’ouvrira avec le film A Vida Invisível de Eurídice Gusmão («La vie invisible d’Eurídice Gusmão»), réalisé par Karim Aïnouz, qui a remporté le prix Un certain Regard au Festival de Cannes en 2019. Le film se déroule à Rio de Janeiro dans les années 1940. Guida et Euridice Gusmão sont deux sœurs inséparables vivant avec leurs parents conservateurs. Bien qu’immergées dans une vie traditionnelle, chacune nourrit un rêve: Eurídice de devenir une pianiste de renom, Guida de trouver le véritable amour. Dans un tournant dramatique, elles sont séparées par leur père et forcées de vivre séparément. Elles prennent en main leur destin séparé, sans jamais abandonner l’espoir de se retrouver.
Zoom sur les trois autres projections:
Pacarrete, réalisé par Allan Deberton: Une vieille femme excentrique danse au rythme de son propre tambour dans le premier long métrage poignant d’Allan Deberton. Pacarrete (la sublime Marcelia Cartaxo), une ancienne danseuse de ballet qui vit dans le nord-est du Brésil, décide de dépoussiérer son tutu et ses chaussons de danse pour exécuter une danse classique pour la célébration du 200e anniversaire de sa ville, que les citadins le veuillent ou non. Une large comédie devient de plus en plus contemplative à mesure que la vraie nature de la vie quotidienne de Pacarrete devient apparente.
Meu Nome é Bagdá («Mon nom est Bagdad»), réalisé par Caru Alves de Souza: Bagdad est une patineuse de 17 ans qui vit à Freguesia do Ó, un quartier ouvrier de la ville de São Paulo, Brésil. Bagdad fait du skateboard avec un groupe d’amis masculins et passe beaucoup de temps avec sa famille et les amis de sa mère. Ensemble, les femmes qui l’entourent forment un réseau de personnes qui sortent de l’ordinaire. Lorsque Bagdad rencontre un groupe de skateuses, sa vie change soudainement.
Três Verões («Trois étés»), réalisé par Sandra Kogut: Chaque décembre, entre Noël et le Nouvel An, Edgar et Marta organisent une somptueuse fête de famille dans leur luxueuse maison d’été au bord de la plage. En 2015, tout semble aller bien, malgré quelques appels téléphoniques tendus et un invité portant un moniteur de cheville. En 2016, la fête annuelle est brusquement annulée. Qu’advient-il des personnes invisibles vivant dans l’orbite des riches et des puissants lorsque ces vies s’effondrent? À travers le regard d’un employé et d’un père âgé oublié, tous deux victimes du cauchemar néolibéral, on aperçoit un portrait du Brésil contemporain juste avant la tragédie de 2018. Les signes étaient tous là, mais on ne savait pas les lire.
Tous les films projetés dans le cadre du cinquième Festival du film brésilien sont programmés sur l’esplanade du musée Sursock, à Achrafieh, du 18 juillet au 21 juillet, et sont accompagnés de sous-titres en anglais.
Programme des projections :
Lundi 18 juillet: Ouverture à 20h/ Projection: 20h30
A Vida Invisível de Eurídice Gusmão («La vie invisible d’Eurídice Gusmão») de Karim Aïnouz (2h19min)
Mardi 19 juillet à 20h30: Pacarrete d'Allan Deberton (1h37min)
Mercredi 20 juillet à 20h30: Meu Nome é Bagdá («Mon nom est Bagdad») de Caru Alves de Souza (1h36min)
Jeudi 21 juillet à 20h30: Três Verões («Trois étés») de Sandra Kogut (1h34min)
Entrée libre | RSVP ici.
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