©Gerard Lopez s’active pour maintenir Bordeaux en Ligue 2. Photo Thibaud Moritz AFP
Les créanciers des Girondins de Bordeaux, Fortress et King Street, ont accepté d'annuler 75% de la dette du club qui conteste sa rétrogradation administrative en National (3e div.), a annoncé mardi soir le propriétaire du club, Gerard Lopez, une bonne nouvelle à une semaine du passage des Girondins devant le comité olympique français (CNOSF). "On réduit la dette au niveau du club de 40 millions (d'euros). On a trouvé un accord avec les prêteurs", a déclaré M. Lopez sur RMC, confirmant ainsi les propos tenus lundi à l'AFP par un des ses proches qui indiquait que de nouveaux accords avaient été trouvés dans la nuit de dimanche à lundi avec King Street et Fortress.
Cette restructuration, qui fait passer la dette du club de 53 à 13,5 millions d'euros, répond à un point soulevé par les instances pour justifier la rétrogradation administrative du club en troisième division.
Relégué sportivement en Ligue 2 à la fin de la saison passée, Bordeaux a été rétrogradé le 14 juin en National par la DNCG, le contrôleur de gestion du football français, après examen des finances du club.
La décision a été confirmée en appel le 5 juillet. Les Girondins ont rendez-vous le 19 juillet devant le Comité national olympique et sportif français pour une audience de conciliation. Si l'avis, consultatif, du CNOSF est favorable, la décision de maintenir Bordeaux en L2 devra ensuite être approuvée le lendemain (20 juillet) par le comité exécutif de la Fédération française (FFF).
Si le club au scapulaire n'obtient pas le feu vert pour repartir en L2, sa dernière option sera de saisir le tribunal administratif. Le championnat de L2 reprend le 30 juillet.
Cette restructuration, qui fait passer la dette du club de 53 à 13,5 millions d'euros, répond à un point soulevé par les instances pour justifier la rétrogradation administrative du club en troisième division.
Relégué sportivement en Ligue 2 à la fin de la saison passée, Bordeaux a été rétrogradé le 14 juin en National par la DNCG, le contrôleur de gestion du football français, après examen des finances du club.
La décision a été confirmée en appel le 5 juillet. Les Girondins ont rendez-vous le 19 juillet devant le Comité national olympique et sportif français pour une audience de conciliation. Si l'avis, consultatif, du CNOSF est favorable, la décision de maintenir Bordeaux en L2 devra ensuite être approuvée le lendemain (20 juillet) par le comité exécutif de la Fédération française (FFF).
Si le club au scapulaire n'obtient pas le feu vert pour repartir en L2, sa dernière option sera de saisir le tribunal administratif. Le championnat de L2 reprend le 30 juillet.
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