Les vacataires techniques du service de météorologie à l’aéroport de Beyrouth seront en grève à partir du lundi 18 juillet. Celle-ci ne sera suspendue que lorsque leurs revendications seront satisfaites, à savoir une amélioration de leurs conditions de travail.
Les vacataires techniques du service de météorologie à l’aéroport de Beyrouth seront en grève à partir du lundi 18 juillet. Ils réclament une amélioration de leurs conditions de travail, d’autant qu’ils continuent à percevoir leurs salaire sen livres libanaises, au taux de change officiel fixé à 1.515 livres.
Rappelant que depuis plus d’un an, ils travaillent sans cesse, souvent 24 heures d’affilées, même les jours fériés, ces salariés expliquent dans un communiqué qu’ils perçoivent 150 dollars par mois pour 240 heures de travail (140 le jour et 100 la nuit). Ils dénoncent aussi le fait de n’avoir pas touché des frais de transports depuis plus de quatre mois. Les vacataires techniques précisent dans ce cadre que le service de météorologie contribue à «faire fonctionner le plus important service public qui génère des millions de dollars aux compagnies au détriment de la santé des techniciens qui continuent à percevoir leurs salaires en livres libanaises alors que les employés des compagnies opérant à l’aéroport les perçoivent en dollars frais».
Les employés ont par ailleurs déploré que leurs heures supplémentaires ne soient toujours pas payées depuis plusieurs années. Ils soulignent également le manque d'effectifs dans leur service, plusieurs fonctionnaires ayant atteint l’âge de la retraite et d’autres étant décédés sans pour autant qu’ils ne soient remplacés.
Rappelant qu’à la demande du directeur général de l’aéroport de Beyrouth, ils avaient annulé la grève qui étaient prévue le 15 juin, les vacataires techniques regrettent que ce dernier n’ait toujours pas répondu favorablement à leurs revendications.
Les vacataires techniques du service de météorologie à l’aéroport de Beyrouth seront en grève à partir du lundi 18 juillet. Ils réclament une amélioration de leurs conditions de travail, d’autant qu’ils continuent à percevoir leurs salaire sen livres libanaises, au taux de change officiel fixé à 1.515 livres.
Rappelant que depuis plus d’un an, ils travaillent sans cesse, souvent 24 heures d’affilées, même les jours fériés, ces salariés expliquent dans un communiqué qu’ils perçoivent 150 dollars par mois pour 240 heures de travail (140 le jour et 100 la nuit). Ils dénoncent aussi le fait de n’avoir pas touché des frais de transports depuis plus de quatre mois. Les vacataires techniques précisent dans ce cadre que le service de météorologie contribue à «faire fonctionner le plus important service public qui génère des millions de dollars aux compagnies au détriment de la santé des techniciens qui continuent à percevoir leurs salaires en livres libanaises alors que les employés des compagnies opérant à l’aéroport les perçoivent en dollars frais».
Les employés ont par ailleurs déploré que leurs heures supplémentaires ne soient toujours pas payées depuis plusieurs années. Ils soulignent également le manque d'effectifs dans leur service, plusieurs fonctionnaires ayant atteint l’âge de la retraite et d’autres étant décédés sans pour autant qu’ils ne soient remplacés.
Rappelant qu’à la demande du directeur général de l’aéroport de Beyrouth, ils avaient annulé la grève qui étaient prévue le 15 juin, les vacataires techniques regrettent que ce dernier n’ait toujours pas répondu favorablement à leurs revendications.
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