Le métropolite de Beyrouth, Mgr Elias Audi a vivement dénoncé dans son homélie dominicale l’égoïsme et les ambitions personnelles des dirigeants qui « ont mené le pays au fond de l’abime ».
Mgr Audi, qui a présidé la messe du dimanche à la cathédrale Saint-Georges de Beyrouth, a affirmé que les Libanais en général, et les dirigeants plus précisément, manquent «de foi, de vérité et d’amour», ce qui a conduit le pays dans le gouffre actuel. Mgr Audi souligne que si ces trois préceptes humains étaient présents, aucun responsable n’aurait ignoré la souffrance quotidienne de son peuple ou n’aurait entravé le travail de la justice concernant l’explosion du Port. Le métropolite de Beyrouth a affirmé que les paroles ne servent plus à grand-chose, car ce ne sont pas les mots «qui vont nourrir les affamés, ni guérir les malades». Et d’ajouter, que le Liban a besoin de dirigeants qui déploieraient des efforts pour combler les failles, au lieu de se lancer dans des polémiques et de s’immiscer, entre autres, dans le travail de la justice ou de perturber l'action des institutions de l’État.
Mgr Audi, qui a présidé la messe du dimanche à la cathédrale Saint-Georges de Beyrouth, a affirmé que les Libanais en général, et les dirigeants plus précisément, manquent «de foi, de vérité et d’amour», ce qui a conduit le pays dans le gouffre actuel. Mgr Audi souligne que si ces trois préceptes humains étaient présents, aucun responsable n’aurait ignoré la souffrance quotidienne de son peuple ou n’aurait entravé le travail de la justice concernant l’explosion du Port. Le métropolite de Beyrouth a affirmé que les paroles ne servent plus à grand-chose, car ce ne sont pas les mots «qui vont nourrir les affamés, ni guérir les malades». Et d’ajouter, que le Liban a besoin de dirigeants qui déploieraient des efforts pour combler les failles, au lieu de se lancer dans des polémiques et de s’immiscer, entre autres, dans le travail de la justice ou de perturber l'action des institutions de l’État.
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