L’ambassadeur français Pierre Duquesne, chargé de la coordination du soutien international au Liban, est arrivé lundi soir à Beyrouth.
L’ambassadeur français chargé de la coordination du soutien international au Liban, Pierre Duquesne, est arrivé lundi soir à Beyrouth dans le cadre d’une visite technique au cours de laquelle il doit en principe lancer le Fonds commun franco-saoudien d’aide au peuple libanais.
La mise en place de cette structure avait été décidée au cours du sommet franco-saoudien de Djeddah, où le président français Emmanuel Macron s’était rendu en décembre dernier. Un protocole d'entente avait été ensuite signé en avril dernier à Beyrouth entre Paris et Riyad. Il prévoit une enveloppe de près de 70 millions de dollars qui devrait servir, suivant un programme qui sera exécuté par étapes, au financement d’une série de projets à caractère social, économique et humanitaire. Une attention particulière est accordée dans ce cadre aux secteurs de la santé, de l’éducation ainsi qu’à la sécurité alimentaire.
A son arrivée à Beyrouth, M. Duquesne, qui est accompagné d’une équipe de travail, a tenu une réunion avec les représentants des organismes économiques. Celle-ci s’est déroulée au siège de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture du Liban et a été «axée sur la crise économique et sociale, ainsi que sur le plan de redressement économique et financier pour clôturer les négociations avec le FMI», selon un communiqué des organismes économiques. Ces derniers ont «présenté au diplomate français les grandes lignes du plan qu’ils proposent en vue d’un redressement économique et financier».
L’exposé a été suivi d’un débat au cours duquel M. Dusquene a plaidé, selon le texte, en faveur d’une signature rapide d’un accord avec le FMI pour une sortie de crise.
L’ambassadeur français chargé de la coordination du soutien international au Liban, Pierre Duquesne, est arrivé lundi soir à Beyrouth dans le cadre d’une visite technique au cours de laquelle il doit en principe lancer le Fonds commun franco-saoudien d’aide au peuple libanais.
La mise en place de cette structure avait été décidée au cours du sommet franco-saoudien de Djeddah, où le président français Emmanuel Macron s’était rendu en décembre dernier. Un protocole d'entente avait été ensuite signé en avril dernier à Beyrouth entre Paris et Riyad. Il prévoit une enveloppe de près de 70 millions de dollars qui devrait servir, suivant un programme qui sera exécuté par étapes, au financement d’une série de projets à caractère social, économique et humanitaire. Une attention particulière est accordée dans ce cadre aux secteurs de la santé, de l’éducation ainsi qu’à la sécurité alimentaire.
A son arrivée à Beyrouth, M. Duquesne, qui est accompagné d’une équipe de travail, a tenu une réunion avec les représentants des organismes économiques. Celle-ci s’est déroulée au siège de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture du Liban et a été «axée sur la crise économique et sociale, ainsi que sur le plan de redressement économique et financier pour clôturer les négociations avec le FMI», selon un communiqué des organismes économiques. Ces derniers ont «présenté au diplomate français les grandes lignes du plan qu’ils proposent en vue d’un redressement économique et financier».
L’exposé a été suivi d’un débat au cours duquel M. Dusquene a plaidé, selon le texte, en faveur d’une signature rapide d’un accord avec le FMI pour une sortie de crise.
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