Le premier septembre, le Liban est officiellement entré dans la période constitutionnelle de deux mois pour élire un nouveau président, dans un contexte d’ambiguïté et d’incertitude causés par les divisions politiques internes. Un ancien ministre explique que ces divisions sont dues à la nouvelle composition du Parlement suite aux élections législatives, qui a concouru à former des groupes minoritaires et de petits blocs au sein de l’opposition.

Un responsable arabe concerné par le dossier présidentiel exclut à son tour la possibilité que la présidentielle ait lieu en raison du schisme politique local, des conflits d’intérêt et des développements régionaux qui affectent ce dossier.