Débat houleux au sein du Courant patriotique libre. Les membres du parti de l’ancien président de la République, Michel Aoun, arrivent de moins en moins à s’entendre sur leurs positions politiques, notamment depuis que Gebran Bassil, gendre du fondateur, a repris la direction du groupe en 2015.

Dernière querelle en date: le boycott ou non de la séance parlementaire, mercredi, pour l’examen du projet de budget 2024. La proposition de Gebran Bassil de faire adopter le budget par une loi revêtue du caractère de double urgence afin de préserver les prérogatives du président de la République n’a pas été approuvée par les députés du CPL, car jugée anticonstitutionnelle.

Un compromis semble avoir été trouvé pour l’instant au sein du mouvement entre les différents courants. Affaire à suivre.

Tags :

Abonnez-vous à notre newsletter

Newsletter signup

Please wait...

Merci de vous être inscrit !