Certains dimanches, Ici Beyrouth vous dévoilera une question posée à différent-e-s auteur-e-s, à des années d’intervalles, à laquelle elles/ils avaient répondu spontanément, jouant au jeu d’une quarantaine de questions soumises d’un coup.
Nous vous laissons le plaisir (et la curiosité?) de découvrir cette nouvelle série, piquée, à l’instar des réponses des auteur-e-s, dans le désordre.
Catherine Millet (2008): La ténacité dans le travail.
Éric-Emmanuel Schmitt (2009): L’énergie.
Jacques Salomé (2011): La créativité. J’ai le sentiment que j’ai passé l’essentiel de ma vie à résoudre des problèmes, à rechercher des solutions, à ne pas me laisser enfermer dans le malheur (qui m’a beaucoup fréquenté!). Et peut-être aussi l’impatience, cette vitalité qui donne du goût à la vie, le sentiment de l’urgence à vivre le meilleur.
Nedim Gürsel (2010): La ténacité.
Alexandre Jardin (2008): Très gaiement désespéré.
Patrick Poivre d’Arvor (2008): Je suis un passionné.
Charif Majdalani (2009): Je ne sais pas. Ce serait aux autres de le dire. Ce que je peux espérer, c’est qu’ils disent que c’est la générosité.
Yasmine Ghata (2009): L’optimisme je crois.
Anna Gavalda (2010): La gentillesse.
Jean-Paul Enthoven (2010): Le détachement.
Richard Millet (2009): L’opiniâtreté.
Éric Fottorino (2011): L’obstination.
Salim Bachi (2010): Solitaire mais solidaire. Une expression de Camus.
David Foenkinos (2010): L’instabilité. L’insomnie. Le désir du sensuel. Le rire. Faudrait un trait qui englobe tout ça.
Alexandre Najjar (2014): La générosité.
Marc Levy (2008): De privilégier l’humour à l’ego.
Salah Stétié (2010): L’introspection excessive.
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