Pour le vingt-neuvième mois consécutif, les proches des victimes de l’explosion du 4 août 2020 se sont rassemblés au pied de la statue de l’Émigré, à l’entrée du port de Beyrouth.

Munis des portraits des leurs, ils ont dénoncé l’apathie de la population qui semble avoir oublié le drame. Ils ont par ailleurs réitéré leur appel à la justice, menaçant de recourir à l’escalade si l’enquête reste victime de blocage.