À Beyrouth, cette semaine du 10 avril constitue bien plus qu’une série de festivités religieuses. La fin du Carême catholique résonne aussi de la même manière chez les chrétiens orthodoxes qui ont célébré dimanche la fête des Rameaux, et se préparent à célébrer Pâques. Les musulmans poursuivent quant à eux le jeûne du mois sacré de Ramadan. Une ambiance sereine plongeant la capitale dans un calme qui a prévalu ce lundi, celui de la prière et de la méditation, malgré la crise économique.
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Les musées tanguent sur des rythmes déchaînés
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