Depuis une dizaine d’années, de nombreuses voix s’élèvent en faveur de la rénovation des gares du Liban afin de relancer le transport ferroviaire. En vain. Tous les projets ont pour le moment échoué, dans un pays où la voiture règne en maître parmi les moyens de transport. Aujourd’hui, le long de la voie ferrée, les amoureux des locomotives peuvent encore se balader sur les rails, pénétrer à l’intérieur d’anciens tunnels, ou visiter de vieilles stations délabrées.

Ici Beyrouth vous emmène à la rencontre d’Eliah Abi Atmé. À 101 ans, il est le plus vieux cheminot du Liban. Depuis son enfance, il rêvait de marcher sur les pas de son père, l’un des premiers employés de l’Office des chemins de fer du pays – une institution fondée il y a bientôt 130 ans.

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