L’association Journalistes pour la liberté a dénoncé le partage, sur les réseaux sociaux, d’"une liste de noms de professionnels des médias, d’universitaires et de militants de différents pays arabes, qui aurait été, selon ses propagateurs, soustraite aux services de sécurité israéliens". "Selon les auteurs de cette campagne d’accusations de traitrise, les personnes dont le nom figure sur cette liste collaboreraient avec l’État hébreu", lit-on dans un communiqué publié par Journalistes pour la liberté.

"Cet  acte porte atteinte à des élites des pays arabes parce qu’elles expriment librement l’opinion différente", poursuit l’ONG. Elle a estimé qu’un tel agissement devrait être "sanctionné en vertu des lois" en vigueur et a appelé les autorités concernées dans les pays arabes à "mener une enquête à cet effet et à sanctionner les responsables" de cette campagne "montée de toutes pièces".

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