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- Macron en Jordanie et non pas au Liban le 21 décembre
©(Photo de Ludovic MARIN/AFP)
C’est finalement auprès des soldats français en Jordanie et non pas au Liban-Sud que le président français, Emmanuel Macron, passera le traditionnel Noël avec les forces françaises à l’étranger.
C’est ce que l'Élysée a annoncé vendredi dans un communiqué, en précisant que M. Macron se rendra sur une base aérienne en Jordanie les 21 et 22 décembre.
«À l’approche des fêtes de fin d’année, le chef de l’État a souhaité offrir un dîner, préparé par le chef des cuisines de la présidence de la République, aux 350 militaires engagés depuis cette base dans la lutte contre le terrorisme», a précisé la présidence française.
Ces militaires participent à la coalition internationale antijihadiste, Inherent Resolve, coordonnée par les États-Unis et centrée sur l'Irak.
«En coordination avec le gouvernement irakien et les alliés présents sur le théâtre, la France apporte un soutien militaire aux forces locales engagées dans la lutte contre le groupe État islamique (EI) sur leur territoire», a rappelé l'Élysée.
Citant des sources diplomatiques françaises, le quotidien saoudien Okaz indique que le président Macron envisageait de passer ces deux jours avec les Casques bleus de la Finul, mais qu’il a décidé d’ajourner sa visite au Liban pour des raisons qui n’ont pas été dévoilées.
Selon l’agence Al-Markaziya, une délégation française composée d’officiers rattachés à l'Élysée et de diplomates du Quai d’Orsay était arrivée à Beyrouth il y a quelques jours dans le cadre des préparatifs de la visite de M. Macron.
Elle avait inspecté le salon d’honneur de l’aéroport, la Résidence des pins, et effectué une visite de reconnaissance au Liban-Sud.
Toujours selon l’agence, le report de la visite au Liban serait lié à la gravité de la situation à la frontière sud, ainsi qu’au vide institutionnel «mortel» dans le pays.
En revanche, la cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, arrivera samedi en fin de matinée à Beyrouth où elle doit être reçue successivement par le président de la Chambre, Nabih Berry, et le Premier ministre sortant, Najib Mikati.
Il s'agit du second déplacement de Mme Colonna à Beyrouth, depuis le début de la guerre à Gaza, le 8 octobre. Sa visite s'inscrit dans le cadre des efforts diplomatiques internationaux menés pour rétablir le calme à la frontière sud et obtenir une application de la résolution 1701 du Conseil de sécurité.
C’est ce que l'Élysée a annoncé vendredi dans un communiqué, en précisant que M. Macron se rendra sur une base aérienne en Jordanie les 21 et 22 décembre.
«À l’approche des fêtes de fin d’année, le chef de l’État a souhaité offrir un dîner, préparé par le chef des cuisines de la présidence de la République, aux 350 militaires engagés depuis cette base dans la lutte contre le terrorisme», a précisé la présidence française.
Ces militaires participent à la coalition internationale antijihadiste, Inherent Resolve, coordonnée par les États-Unis et centrée sur l'Irak.
«En coordination avec le gouvernement irakien et les alliés présents sur le théâtre, la France apporte un soutien militaire aux forces locales engagées dans la lutte contre le groupe État islamique (EI) sur leur territoire», a rappelé l'Élysée.
Citant des sources diplomatiques françaises, le quotidien saoudien Okaz indique que le président Macron envisageait de passer ces deux jours avec les Casques bleus de la Finul, mais qu’il a décidé d’ajourner sa visite au Liban pour des raisons qui n’ont pas été dévoilées.
Selon l’agence Al-Markaziya, une délégation française composée d’officiers rattachés à l'Élysée et de diplomates du Quai d’Orsay était arrivée à Beyrouth il y a quelques jours dans le cadre des préparatifs de la visite de M. Macron.
Elle avait inspecté le salon d’honneur de l’aéroport, la Résidence des pins, et effectué une visite de reconnaissance au Liban-Sud.
Toujours selon l’agence, le report de la visite au Liban serait lié à la gravité de la situation à la frontière sud, ainsi qu’au vide institutionnel «mortel» dans le pays.
En revanche, la cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, arrivera samedi en fin de matinée à Beyrouth où elle doit être reçue successivement par le président de la Chambre, Nabih Berry, et le Premier ministre sortant, Najib Mikati.
Il s'agit du second déplacement de Mme Colonna à Beyrouth, depuis le début de la guerre à Gaza, le 8 octobre. Sa visite s'inscrit dans le cadre des efforts diplomatiques internationaux menés pour rétablir le calme à la frontière sud et obtenir une application de la résolution 1701 du Conseil de sécurité.
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