À l’issue de sa réunion, mardi, avec les ambassadeurs du groupe des Cinq (France, Arabie saoudite, États-Unis, Qatar et Égypte), qui tentent de trouver des solutions pour sortir le Liban de l’impasse, le chef du Parlement, Nabih Berry, a affirmé que "la position (entre les ambassadeurs) est unifiée", tout en qualifiant cette rencontre d’"utile et prometteuse". 

M. Berry s’est ainsi réuni, mardi en début d’après-midi à Aïn el-Tineh avec les ambassadeurs d’Arabie saoudite, Walid Boukhari; l’ambassadeur du Qatar, Saoud Ben Abdel Rahmane Ben Fayçal Thani al-Than; l’ambassadeur de France, Herve Magro; l’ambassadeur d’Égypte, Alaa Moussa; et l’ambassadrice des États-Unis, Lisa Johnson et ce, en présence de ses conseillers, le Dr Mahmoud Berry et Ali Hamdan.

Les sujets abordés au cours de cette réunion, qui a duré environ une heure, comprenaient les récents développements tant au niveau local que régional, avec une attention particulière portée à la question de l’élection présidentielle au Liban.

S’exprimant à son tour à l’issue de cette rencontre, l’ambassadeur de France, Hervé Magro, a emboîté le pas à M. Berry en affirmant lui aussi l’unité de la position des ambassadeurs. Le diplomate a aussi confié que le quintette "rencontrera bientôt les responsables politiques au Liban".

Avec pour principal objectif de trouver une solution pour sortir le Liban de l’impasse, cette rencontre, initialement prévue pour le 25 janvier, s’était transformée ce jour-là en une réunion consultative interne entre les membres du quintette et s’était déroulée à Yarzé, au domicile de l’ambassadeur d’Arabie saoudite, Walid Boukhari, en vue de préparer la prochaine réunion des responsables de ces pays qui devrait se tenir à Riyad, Doha ou Paris.

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