Le comité représentatif des professeurs contractuels de l’Université libanaise (UL) a annoncé «une grève générale et ouverte à partir du premier jour de l’année universitaire 2024-2025» jusqu'à ce que ses revendications soient enfin approuvées par le Conseil des ministres.
Dans un communiqué publié lundi, les contractuels de l’UL ont indiqué que leur grève est notamment «basée sur un recensement auprès de 645 professeurs contractuels de l’UL». Ceux-ci remplissent les conditions d’un statut vacataire à plein temps.
Le comité des professeurs contractuels de l’UL appelle les professeurs à ne pas revenir à l'université à moins qu’ils n’obtiennent gain de cause. Et d’ajouter qu’ils mettront fin à leur grève dès «que le changement de statut des contractuels sera approuvé par le gouvernement».
Le comité a également exhorté tous les professeurs «à tenir bon quelles que soient les pressions» indiquant que l’évolution de cette grève et son efficacité seront réévaluées périodiquement.
Le comité a également mis en garde les autorités compétentes de l’UL contre «toute résiliation de contrats des enseignants contractuels, de réduction de leurs salaires ou encore de non-paiement de leurs arriérés pour l'année écoulée» qualifiant ces agissements «d’actes condamnables».
En outre, il a mis la balle dans le camp des autorités politiques, spirituelles et éducatives, en les appelant à sauver l’Université libanaise et à appeler à la préservation de la liberté d’expression.
«Le comité maintiendra ses réunions ouvertes pour se tenir informé de l'approbation du dossier sabbatique» a conclu le texte.
Pour rappel: en 1970, les autorités de l'UL ont instauré le concept d'emploi contractuel à plein temps. En échange, l'enseignant s'engageait à se consacrer entièrement à son travail académique et à s'abstenir de toute autre activité rémunérée extérieure.
Dans un communiqué publié lundi, les contractuels de l’UL ont indiqué que leur grève est notamment «basée sur un recensement auprès de 645 professeurs contractuels de l’UL». Ceux-ci remplissent les conditions d’un statut vacataire à plein temps.
Le comité des professeurs contractuels de l’UL appelle les professeurs à ne pas revenir à l'université à moins qu’ils n’obtiennent gain de cause. Et d’ajouter qu’ils mettront fin à leur grève dès «que le changement de statut des contractuels sera approuvé par le gouvernement».
Le comité a également exhorté tous les professeurs «à tenir bon quelles que soient les pressions» indiquant que l’évolution de cette grève et son efficacité seront réévaluées périodiquement.
Le comité a également mis en garde les autorités compétentes de l’UL contre «toute résiliation de contrats des enseignants contractuels, de réduction de leurs salaires ou encore de non-paiement de leurs arriérés pour l'année écoulée» qualifiant ces agissements «d’actes condamnables».
En outre, il a mis la balle dans le camp des autorités politiques, spirituelles et éducatives, en les appelant à sauver l’Université libanaise et à appeler à la préservation de la liberté d’expression.
«Le comité maintiendra ses réunions ouvertes pour se tenir informé de l'approbation du dossier sabbatique» a conclu le texte.
Pour rappel: en 1970, les autorités de l'UL ont instauré le concept d'emploi contractuel à plein temps. En échange, l'enseignant s'engageait à se consacrer entièrement à son travail académique et à s'abstenir de toute autre activité rémunérée extérieure.
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