Le ministre sortant de la Santé, Firas Abiad, a accueilli ce soir, à l'aéroport international de Beyrouth, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Celui-ci était accompagné de l'ambassadeur de France, Hervé Magro, et d'une délégation.
Lors de son arrivée, M. Barrot a souligné l'engagement de la France à soutenir le Liban, notamment en renforçant le ministère de la Santé publique. Dans le cadre de sa visite, il remettra une aide sanitaire d'urgence au ministre libanais de la Santé, avant de tenir une réunion de travail axée sur la situation des ressortissants français.
M. Abiad a exprimé sa gratitude envers la France pour l'envoi de onze tonnes et demie d'aide, qui contribueront à augmenter les stocks de médicaments, essentiels pour faire «face aux urgences et aux conséquences de l'agression israélienne».
Lundi, M. Barrot consacrera sa journée à des entretiens avec plusieurs responsables libanais, notamment Najib Mikati, le Premier ministre sortant, le général Joseph Aoun, commandant en chef de l'armée, et Nabih Berry, président du Parlement. Jean-Noël Barrot rencontrera également le Coordonnateur spécial des Nations unies pour le Liban ainsi que la Force intérimaire des Nations unies (FINUL).
En parallèle, M. Barrot a échangé par téléphone, dimanche, avec ses homologues britannique, David Lammy, et américain, Antony Blinken, afin de discuter des efforts nécessaires pour désamorcer le conflit au Liban. Les ministres ont aussi abordé l'avancement du processus politique au Liban et la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies. Ils ont souligné l'importance d'un accord de cessez-le-feu à Gaza pour permettre la libération des otages.
Il convient de noter que la France a demandé samedi la «cessation immédiate des frappes israéliennes au Liban» et s'est déclarée «opposée à toute opération terrestre» dans le pays.
Lors de son arrivée, M. Barrot a souligné l'engagement de la France à soutenir le Liban, notamment en renforçant le ministère de la Santé publique. Dans le cadre de sa visite, il remettra une aide sanitaire d'urgence au ministre libanais de la Santé, avant de tenir une réunion de travail axée sur la situation des ressortissants français.
M. Abiad a exprimé sa gratitude envers la France pour l'envoi de onze tonnes et demie d'aide, qui contribueront à augmenter les stocks de médicaments, essentiels pour faire «face aux urgences et aux conséquences de l'agression israélienne».
Lundi, M. Barrot consacrera sa journée à des entretiens avec plusieurs responsables libanais, notamment Najib Mikati, le Premier ministre sortant, le général Joseph Aoun, commandant en chef de l'armée, et Nabih Berry, président du Parlement. Jean-Noël Barrot rencontrera également le Coordonnateur spécial des Nations unies pour le Liban ainsi que la Force intérimaire des Nations unies (FINUL).
En parallèle, M. Barrot a échangé par téléphone, dimanche, avec ses homologues britannique, David Lammy, et américain, Antony Blinken, afin de discuter des efforts nécessaires pour désamorcer le conflit au Liban. Les ministres ont aussi abordé l'avancement du processus politique au Liban et la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies. Ils ont souligné l'importance d'un accord de cessez-le-feu à Gaza pour permettre la libération des otages.
Il convient de noter que la France a demandé samedi la «cessation immédiate des frappes israéliennes au Liban» et s'est déclarée «opposée à toute opération terrestre» dans le pays.
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