Le rassemblement de Saydet el-Jabal a déploré le fait que les promesses des parties politiques aux Libanais trahissent une politique de fuite en avant que ces parties croient pouvoir utiliser pour se dédouaner de toute responsabilité alors que (ces fausses promesses) ne font qu’aggraver la responsabilité qui leur incombe ». Et cela vaut aussi pour « les parties souverainistes » que le rassemblement a appelé à se fédérer lors de la prochaine présidentielle, « contre l’occupation iranienne du Liban ».
Le rassemblement a dénoncé les fausses promesses de « législatives porteuses d’un changement retentissant à même de faire passer le Liban de l’effondrement au redressement », selon un communiqué du rassemblement de Saydet el-Jabal publié à l’issue de sa réunion hebdomadaire via zoom. Or les résultats des législatives n’ont fait que « consacrer l’équilibre des forces existant et rééditer les compromis entre les parties au pouvoir », a noté le rassemblement. Dans ce contexte, « la soif d’influence chez les gens du pouvoir paralyse la formation du nouveau cabinet et avec elle tout espoir d’entamer les réformes exigées par les communautés internationale et arabe comme condition d’appui au Liban ».
Ces fausses promesses valent aussi pour la présidentielle, qu’utilisent les forces politiques pour « créer artificiellement chez les Libanais l’espoir que l’élection d’un nouveau président de la République est la clé de la solution à la crise libanaise », selon le texte.
C’est dans ce cadre que le rassemblement s'est adressé aux forces souverainistes et celles qui « se soucient de l’intérêt du Liban ». « Sachant que le rassemblement de Saydet el-Jabal respecte les délais constitutionnels pour l’élection d’un nouveau président de la République et appelle à les respecter, le rassemblement appelle en contrepartie les parties politiques soucieuses de l’intérêt du Liban à opérer une relecture critique globale de leurs prises de position au cours de la période passée et à s’unir autour d’un seul thème pour la bataille de la présidentielle, celui de la lutte contre l’occupation iranienne du Liban », peut-on lire dans le communiqué.
« Une fédération de ces forces politiques autour d’un seul objectif, celui de la fin de l’occupation iranienne du Liban est le seul moyen de mener la bataille de la présidentielle sur des bases politiques saines à même de recomposer un terrain politique porteur d’un projet national (et) garant (…) d’une victoire électorale » réelle. En revanche, « se retrouver autour d’intérêts électoraux ne produira ni coalition ni orientation politique nationale », a ajouté le texte.
Le rassemblement a dénoncé les fausses promesses de « législatives porteuses d’un changement retentissant à même de faire passer le Liban de l’effondrement au redressement », selon un communiqué du rassemblement de Saydet el-Jabal publié à l’issue de sa réunion hebdomadaire via zoom. Or les résultats des législatives n’ont fait que « consacrer l’équilibre des forces existant et rééditer les compromis entre les parties au pouvoir », a noté le rassemblement. Dans ce contexte, « la soif d’influence chez les gens du pouvoir paralyse la formation du nouveau cabinet et avec elle tout espoir d’entamer les réformes exigées par les communautés internationale et arabe comme condition d’appui au Liban ».
Ces fausses promesses valent aussi pour la présidentielle, qu’utilisent les forces politiques pour « créer artificiellement chez les Libanais l’espoir que l’élection d’un nouveau président de la République est la clé de la solution à la crise libanaise », selon le texte.
C’est dans ce cadre que le rassemblement s'est adressé aux forces souverainistes et celles qui « se soucient de l’intérêt du Liban ». « Sachant que le rassemblement de Saydet el-Jabal respecte les délais constitutionnels pour l’élection d’un nouveau président de la République et appelle à les respecter, le rassemblement appelle en contrepartie les parties politiques soucieuses de l’intérêt du Liban à opérer une relecture critique globale de leurs prises de position au cours de la période passée et à s’unir autour d’un seul thème pour la bataille de la présidentielle, celui de la lutte contre l’occupation iranienne du Liban », peut-on lire dans le communiqué.
« Une fédération de ces forces politiques autour d’un seul objectif, celui de la fin de l’occupation iranienne du Liban est le seul moyen de mener la bataille de la présidentielle sur des bases politiques saines à même de recomposer un terrain politique porteur d’un projet national (et) garant (…) d’une victoire électorale » réelle. En revanche, « se retrouver autour d’intérêts électoraux ne produira ni coalition ni orientation politique nationale », a ajouté le texte.
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