Depuis jeudi, les grains de blé et de maïs amoncelés au pied des silos détruits au port de Beyrouth brûlent par intermittence. Cet endroit sensible reste cependant inaccessible.

C’est dans ce contexte que des proches des victimes se sont rassemblés devant le port le mercredi 13 juillet pour dénoncer une infamie. Leurs cris restent inaudibles.