Selon des informations révélées par le journal Le Monde, la France a pour la première fois émis mercredi quatre mandats d’arrêts internationaux à l’encontre des plus haut commandants de l’armée syrienne.

Ils sont accusés de " complicité de lancement d’attaque délibérée contre la population civile " mais également de  " complicité d’atteinte volontaire à la vie, constitutive de crime de guerre ".

En cause, notamment, l’assassinat du professeur de français franco-syrien Salah Abou Nabout. Son domicile avait été frappé en 2017 par des bombes de barils.