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Lors des premières séances d’entraînement de ce week-end, l’aura autour de Max Verstappen semblait pâlir, laissant penser certains observateurs qu’il était sur le déclin. Cependant, tel un monarque réaffirmant son règne sur le tracé, Verstappen a répondu avec éclat, récupérant la position qui lui revient de droit.
Lors des premières séances d’entraînement de ce week-end, l’aura autour de Max Verstappen semblait pâlir, laissant penser certains observateurs qu’il était sur le déclin. Cependant, tel un monarque réaffirmant son règne sur le tracé, Verstappen a répondu avec éclat, récupérant la position qui lui revient de droit.
Dans un tourbillon de performances impressionnantes, Verstappen a transcendé les attentes, établissant des records et laissant ses rivaux dans son sillage et rappelant à tous pourquoi il est l’un des pilotes les plus redoutables sur le circuit actuel de la Formule 1.
Max à l’affût
Le maître néerlandais de la piste, Max Verstappen, étoile incontestée du championnat du monde, inscrit sa septième pôle position de la saison, la huitième consécutive, sous les couleurs flamboyantes de Red Bull. Une performance qui ne peut laisser de marbre les passionnés, érigeant Verstappen en véritable virtuose du bitume. C’est avec cette aura d’invincibilité qu’il prendra le départ en tête, dimanche à 16 heures, sur le tracé de l’Autodromo Enzo e Dino Ferrari, faisant écho aux exploits légendaires d’Ayrton Senna durant les saisons 1988-89. Une parité remarquable, puisqu’Alain Prost, autre monument de la discipline, avait également aligné sept pôles positions en 1993.
McLaren, dans son sillage, tente d’exercer une pression fébrile sur le triple champion du monde. Cependant, ni Oscar Piastri ni Lando Norris n’ont été en mesure de rivaliser avec l’éclat de Verstappen. Malgré tout, McLaren réalise un week-end prometteur, à l’image du brillant Grand Prix de Miami remporté par Norris, qui s’élancera en troisième position, juste derrière Piastri.
Ferrari, toujours pas ça
Ferrari, à domicile, peine à imprimer sa marque. Les virevoltes des bolides rouges, malgré leurs efforts, ne parviennent pas à se hisser à la hauteur des attentes de leurs supporters. Charles Leclerc prendra le départ en quatrième position, suivi de près par Sainz en cinquième position. L’écurie italienne devra déployer des trésors de bravoure pour enflammer l’enthousiasme des Tifosi demain.
Mercedes, en quête de rythme, semble toujours en déroute. Un constat qui conforte Lewis Hamilton dans sa décision de tourner la page avec Toto Wolff en fin de saison. Le Britannique prendra le départ en huitième position, tandis que Russell s’élancera en sixième position sur la grille de départ.
Yuki la surprise
Une lueur d’éclat émane de Yuki Tsunoda. Le pilote japonais positionnera sa Alpha Tauri, l’alter ego de Red Bull, entre les voitures britanniques, en septième position. Une performance remarquable qui marque un week-end en tout point réussi pour le jeune prodige nippon.
La séance de qualifications réserve son lot de surprises lors de la Q2. Daniel Ricciardo et Nico Hülkenberg sortent le grand jeu, se classant respectivement neuvième et dixième, reléguant Sergio Pérez à une infime quinzième de seconde. Les performances fluctuantes du Mexicain alimentent les rumeurs grandissantes quant à son avenir chez Red Bull la saison prochaine.
À noter que les Alpines achoppent une fois de plus en Q2, ne parvenant pas à s’imposer. Esteban Ocon et Pierre Gasly s’élanceront respectivement en douzième et quinzième positions. Fernando Alonso, quant à lui, s’élancera en dix-neuvième position, évoquant une combinaison d’éléments et de malchance au micro de Canal+.
À ne pas manquer dimanche à 16 heures le Grand Prix d’Émilie-Romagne. Rendez-vous est pris avec l’effervescence de la compétition sur les terres de l’Emilie-Romagne.
