Le dernier à partir éteindra la lumière…
par Marc Saikali, 18/08 09:00 - Lecture : 2 minute(s)
Une phrase inscrite jadis sur la route de l’aéroport de Buenos Aires évoque l’émigration massive de l’époque, alors que l’Argentine traversait une grave crise. Au Liban, on innove. Alors que le dernier Libanais n'est pas encore parti (mais c'est en bonne voie), le courant est coupé. L’électricité de la «dawlé» (de l’État), ...