©Le gardien de l’OM Pau Lopez s’interpose devant Lucien Agoume
Ultra-dominateur en première période, l'OM a pourtant été piégé samedi à domicile par Brest (2-1), qui a confirmé son excellente forme actuelle et considérablement fragilisé la position de dauphin du Paris SG des Marseillais.
Brest n'avait jamais gagné de toute son histoire au Stade Vélodrome. C'est désormais chose faite et ce sixième succès consécutif des Bretons leur vaut logiquement d'intégrer provisoirement le premier tiers du classement, à la 6e place.
Les Olympiens de leur côté espéraient bâtir sur ses deux récents succès contre Troyes (1-0) et surtout à Nantes (1-0), où ils avaient semblé avoir retrouvé leur style et leur superbe du début de saison.
Après 45 minutes samedi, on pensait d'ailleurs que l'OM était revenu sur sa lancée de la Beaujoire. Possession, rythme, qualité technique, justesse tactique... Il n'a vraiment pas manqué grand-chose à la première période des Marseillais, peut-être juste un deuxième but qui aurait mieux reflété leur supériorité.
De nouveau sans Milik et donc sans avant-centre, les joueurs de Jorge Sampaoli se sont ainsi très vite installés très haut dans la moitié de partie adverse et n'ont jamais levé le camp, ni le pied.
Gerson, qui a alterné avec Payet au poste de faux N.9, a tiré le premier avec une jolie frappe du gauche sortie par Bizot (7e). De la Fuente a aussi tenté sa chance (13e) après une talonnade géniale de Payet.
Le N.10 marseillais, qui traverse probablement l'une des meilleures périodes de sa carrière, a encore été impliqué sur l'ouverture du score, remiseur pour Gerson qui a frappé fort du gauche sous la barre (1-0, 29e) pour son deuxième but de la semaine après celui inscrit à Nantes.
Le Brésilien semble enfin avoir intégré le rythme de la Ligue 1 et enclenché la marche avant, ce qui est une bonne nouvelle pour Sampaoli, dont l'effectif n'est pas suffisamment riche pour absorber les méformes trop persistantes.
Mais comme souvent cette saison, notamment en Ligue Europa, l'OM n'était pas très justement payé de ses efforts avec un seul but d'avance. Ses difficultés à creuser l'écart l'exposent et cette fois, sa défense infranchissable ces dernières semaines a craqué.
Il a en fait suffi de trois fois rien au retour des vestiaires, un peu moins d'intensité côté provençal et une frappe de Del Castillo contrée de la main par Kamara, pour voir les Bretons revenir.
Malgré le boucan infernal du Vélodrome, Faivre a transformé sans trembler le penalty sifflé par l'ancien joueur professionnel Gaël Angoula, qui arbitrait pour la première fois en L1 après la blessure d’Anthony Gautier à l'échauffement, et le match était relancé (1-1, 53e).
Les Marseillais sont repartis à l'assaut, avec Guendouzi qui a frappé de peu à côté (65e), comme Gerson un peu plus tard (77e). Mais entre ces deux occasions, Brest était passé devant, grâce à un beau but signé Honorat, bien servi par Le Douaron (2-1, 70e).
Une fois de plus, l'OM a été séduisant mais improductif samedi et n'a finalement pas cadré plus de frappes que Brest (quatre) malgré 75% de possession. C'est un défaut récurrent et peut-être rédhibitoire pour un candidat à la Ligue des champions.
Brest n'avait jamais gagné de toute son histoire au Stade Vélodrome. C'est désormais chose faite et ce sixième succès consécutif des Bretons leur vaut logiquement d'intégrer provisoirement le premier tiers du classement, à la 6e place.
Les Olympiens de leur côté espéraient bâtir sur ses deux récents succès contre Troyes (1-0) et surtout à Nantes (1-0), où ils avaient semblé avoir retrouvé leur style et leur superbe du début de saison.
Après 45 minutes samedi, on pensait d'ailleurs que l'OM était revenu sur sa lancée de la Beaujoire. Possession, rythme, qualité technique, justesse tactique... Il n'a vraiment pas manqué grand-chose à la première période des Marseillais, peut-être juste un deuxième but qui aurait mieux reflété leur supériorité.
De nouveau sans Milik et donc sans avant-centre, les joueurs de Jorge Sampaoli se sont ainsi très vite installés très haut dans la moitié de partie adverse et n'ont jamais levé le camp, ni le pied.
Gerson, qui a alterné avec Payet au poste de faux N.9, a tiré le premier avec une jolie frappe du gauche sortie par Bizot (7e). De la Fuente a aussi tenté sa chance (13e) après une talonnade géniale de Payet.
Le N.10 marseillais, qui traverse probablement l'une des meilleures périodes de sa carrière, a encore été impliqué sur l'ouverture du score, remiseur pour Gerson qui a frappé fort du gauche sous la barre (1-0, 29e) pour son deuxième but de la semaine après celui inscrit à Nantes.
Le Brésilien semble enfin avoir intégré le rythme de la Ligue 1 et enclenché la marche avant, ce qui est une bonne nouvelle pour Sampaoli, dont l'effectif n'est pas suffisamment riche pour absorber les méformes trop persistantes.
Mais comme souvent cette saison, notamment en Ligue Europa, l'OM n'était pas très justement payé de ses efforts avec un seul but d'avance. Ses difficultés à creuser l'écart l'exposent et cette fois, sa défense infranchissable ces dernières semaines a craqué.
Il a en fait suffi de trois fois rien au retour des vestiaires, un peu moins d'intensité côté provençal et une frappe de Del Castillo contrée de la main par Kamara, pour voir les Bretons revenir.
Malgré le boucan infernal du Vélodrome, Faivre a transformé sans trembler le penalty sifflé par l'ancien joueur professionnel Gaël Angoula, qui arbitrait pour la première fois en L1 après la blessure d’Anthony Gautier à l'échauffement, et le match était relancé (1-1, 53e).
Les Marseillais sont repartis à l'assaut, avec Guendouzi qui a frappé de peu à côté (65e), comme Gerson un peu plus tard (77e). Mais entre ces deux occasions, Brest était passé devant, grâce à un beau but signé Honorat, bien servi par Le Douaron (2-1, 70e).
Une fois de plus, l'OM a été séduisant mais improductif samedi et n'a finalement pas cadré plus de frappes que Brest (quatre) malgré 75% de possession. C'est un défaut récurrent et peut-être rédhibitoire pour un candidat à la Ligue des champions.
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