Citées par l’agence locale, Al-Markaziya, des sources qui suivent l’affaire de l’interpellation de l’évêque maronite de Haïfa et de Terre Sainte, Mgr Moussa el-Hage, le 18 juillet dernier à Ras Naqoura, alors qu’il entrait au Liban venant d’Israël, soulignent que celle-ci est en voie de règlement sur le plan judiciaire.
Le règlement s’opère loin des feux de la rampe, dans un souci d’éviter toute exploitation politique, par un groupe d’acteurs juridiques et sécuritaires et consiste, selon les mêmes sources, à abandonner les poursuites mais à élargir l'enquête. Ce processus devrait donner à tous le temps de régler l’affaire une fois pour toutes, de manière à garantir à l’avenir les allers et retours de Mgr el-Hage, ou de tout autre prélat, vers et depuis le diocèse en Terre Sainte, sans entraves comme c’était le cas jusqu’à tout récemment, conformément aux lois en vigueur et aux accords relatifs à la circulation des hommes de religion entre le Liban et la Terre Sainte. Le règlement actuellement sous examen repose sur les lois en vigueur, selon les mêmes sources qui ont déclaré sans fondement les informations relayées dans les médias et sur les réseaux sociaux concernant d’hypothétiques solutions en cours.
Le règlement s’opère loin des feux de la rampe, dans un souci d’éviter toute exploitation politique, par un groupe d’acteurs juridiques et sécuritaires et consiste, selon les mêmes sources, à abandonner les poursuites mais à élargir l'enquête. Ce processus devrait donner à tous le temps de régler l’affaire une fois pour toutes, de manière à garantir à l’avenir les allers et retours de Mgr el-Hage, ou de tout autre prélat, vers et depuis le diocèse en Terre Sainte, sans entraves comme c’était le cas jusqu’à tout récemment, conformément aux lois en vigueur et aux accords relatifs à la circulation des hommes de religion entre le Liban et la Terre Sainte. Le règlement actuellement sous examen repose sur les lois en vigueur, selon les mêmes sources qui ont déclaré sans fondement les informations relayées dans les médias et sur les réseaux sociaux concernant d’hypothétiques solutions en cours.
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